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>Impossible de dépasser le 1920×1080 sur mon moniteur externe Je ne suis pas certain que le chip graphique des powerbook soit capable de beaucoup mieux
non c’est sûr, Screens me propose une résolution au dessus mais écran noir quand je l’applique. Je n’ai pas trouvé comment modifier les propriétés du moniteur externe (fréquences etc)
(salut Henes !)
oui la fonction dual display n’est pas très utile dans l’état. Impossible de dépasser le 1920×1080 sur mon moniteur externe 4k, impossible de couper le moniteur intégré du Powerbook pour utiliser l’externe comme moniteur principal.
edit : en fait si j’ai réussi à n’utiliser que le moniteur externe, cool.
bébés crocodiles ou alligators 🙂
En réponse à : Vendredi 13/03/2020 à 21h : soirée Chat IRC sur #amigaimpact
16 septembre 2019 à 11h40 #336003Pourquoi ne pas utiliser un moyen plus universel dispo sur mobile/browser… comme discord ?
y’a pas plus universel que l’IRC 🙂
ça bouffe pas de ressources ou très peu, et ça marche même avec une connexion toute pourrie. Et Discord sur un Amiga 68k hmm…
Il y a la version plus récente « AmigaAMP 3.25 (68k/OS3.9) du 20.08.2019 », mais elle ne donne rien chez moi (se lance puis les actions ne donnent rien, donc morte…). Elle fonctionne chez quelqu’un ?
Cette version fonctionne sur AmigaOS4, pour MorphOS, OS4Emu est appellé par l’appli mais ça ne fonctionne pas ou plus.
précommandée ici.
c’est fait.
un mail aurait suffit sinon
La rétro-compatibilité
Je pense que l’on perd trop de temps à trouver des moyens de faire tourner les softs 68k ou PPC dans le cas d’un port X86 de MorphOS. Les applications « modernes » (toutes proportions amigaistes gardées) peuvent être portées pour tourner sur X86 sans trop de douleur. Pour le reste, c’est à la communauté de se prendre en main et de créer du neuf. Le problème de la compatibilité ne doit pas être un frein, mais au contraire un coup de boost vers du neuf. Surtout qu’un port X86 permettrai d’attirer de nouveaux utilisateurs, et aussi de nouveaux développeurs, ce qui permettrait d’arrêter d’harceler les 10/15 devs restant, et d’injecter du sang neuf dans la communauté.
Un autre exemple, depuis la disponibilité d’OWB pour MorphOS, combien utilisent encore iBrowse ? AWeb ?
MorphOs est un Os moderne, puissant, il mérite des applications modernes, à la hauteur de l’OS.
Pour ceux qui s’accrochent à leurs logiciels historiques (et je dis ça sans volonté de dénigrer), il y aura le natami, ou OS4, ou d’autres, des solutions qui existent ou sont sur le point d’exister, alors que MorphOS pourrait représenter l’avenir, l’ouverture vers de nouveau horizons, des horizons plus sécurisés, au lieu de chercher à tout prix des plateformes PPC de secours, souvent obsolètes, ou chères.
Je ne pense pas qu’il faille opérer un « switch » vers le X86, mais plutôt de commencer à développer l’avenir x86 (ou amd64, tant qu’à faire) de MorphOS en parallèle du travail fait et restant à faire sur PPC, pour préparer l’avenir, et se laisser le temps de trouver des ressources (développeurs) pour un tel projet.
Le problème des drivers
Je suis d’accord avec Serge, il est possible de se limiter à certains modèles de carte-mère, de chipsets, etc. La communauté Hackintosh en est la preuve, la contrainte de devoir trouver du matériel compatible n’a pas empêché la communauté hackintosh d’être très active, nombreuse, et foisonnante de projets.
Ce n’est qu’un point de vue, il est discutable, les arguments des anti-morphos sur x86 sont souvent recevables, mais ils s’inscrivent dans une longue tradition amiga conservatrice et finalement assez blocante pour l’avenir. La moyenne d’âge des amigaiste est aussi de plus en plus élevée,nous vieillissons, et si il n’y a pas un effort d’ouverture, et un semblant de stratégie un peu plus ambitieuse, j’ai peur que l’amiga devienne dans quelques décemnies, un hobby qui n’intéressera que les seniors de l’informatique.
Voilà, du blahblah théorique, voire philosphique, qu’on ne me reproche pas de ne pas donner d’idées concernant la façon de mettre une telle stratégie en oeuvre, sur un aspect technique, ou en terme de ressources, ce n’est pas de ma compétence.
Mes chers co-amigaistes, vive MorphOS, et vive l’Amiga.
Ce sera selon moi la futur grosse étape après le support des PowerBook et des PowerMac G5.
dans ce cas pourquoi perdre du temps, pourquoi ne pas le faire maintenant ?
-> finir le portage sur tout les powermacs qui marchent encore
-> finir le portage sur les antiques powerbooks (non seulement va falloir trouver LE modèle supporté, mais en plus qui marche encore)
-> porter MOS sur les G5 pendant qu’ils marchent encore.(vite !!!!)
-> porter MOS sur le X1000 (parce que si ce truc marche un peu, ça va leur foutre les nerfs)
-> porter MOS sur le X2000 (parce qu’une fois tous les portages terminés ils en seront au X2000)
-> penser à faire évoluer l’OS qui a plein de nouveaux drivers mais pas grand chose de neuf depuis 3 ans.
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En fait un Amiga c’est une machine capable de lancer State of the art sans émulateur. …là, ça devrait régler le problème.
donc le truc émulateur hardware de machines préhistoriques FPGAmachin est un Amiga. Mais un AmigaOne n’est pas un Amiga.
Ca commence à devenir n’importe quoi cette définition de l’Amiga. Vivement que les derniers classiques tombent en ruine histoire qu’on arrête ces querelles stériles qui n’excitent plus que les vieux cons intégristes de la communauté.
Introduisons un peu de laicité dans l’Amiga, débarrassons-nous des intégristes technoreligieux.
@SoundSquare: sitation avec relecture biaisé! Il n’a pas « retourné sa veste » au sens d’être contre le nucléaire… au contraire! Il dit juste que l’être humain est trop vénale et bête pour l’utiliser correctement.
je ne voulais pas dire qu’il retourne sa veste dans ce communiqué, je voulais dire, pour ceux qui suivent un peu M. Reeves, que jusqu’à maintenant il a toujours défendu le nucléaire et que Fukushima a tempéré son enthousiasme (pour les raisons liées à la nature humaine qu’il développe et que tu as parfaitement compris ). Son discours a changé, je me suis mal exprimé.
L’humain fonctionne ainsi (je me permet de m’auto citer car je l’avais déjà dit, oui je suis un sale con mégalo), il faut que l’humain soit au pied du mur pour prendre un virage, tant que ça rapporte, tant que ce sont les autres qui crèvent, il continue …..
je me suis dit ça pendant longtemps, et puis en fait non; l’histoire prouve le contraire. L’Humain au pied du mur s’agite, panique, s’effondre, fait pénitence, prends de bonnes résolutions, se relève, et recommence tout comme avant. Il n’apprend rien, a tendance à oublier qu’il n’est qu’un singe évolué, et que comme tout bon animal il a besoin de dominer son prochain, de toutes les façons. Les exceptions (les gens biens) sont trop faibles face à la meute de loups.
Je relaie juste la pensée d’Hubert Reves, sûrement un des derniers grands sages, qui a retourné sa veste sur le nucléaire, ou plutôt, a changé d’avis, et c’est une très bonne chose.
L’astrophysicien Hubert Reeves, 78 ans, a longtemps été favorable à l’énergie nucléaire. Puis, de nombreuses raisons l’ont fait changer d’avis. Devenu en 2001 président de la ligue Roc pour la préservation de la faune sauvage, fondée par Théodore Monod, il explique à La Vie pourquoi le nucléaire est, à son avis, une énergie trop dangereuse pour être confiée à des humains. Et surtout pourquoi un débat sur «une mutation énergétique» à l’échelle de la planète est devenu indispensable. Que vous inspirent les événements qui se déroulent actuellement au Japon ? C’est la prise de conscience du rôle des erreurs humaines dans le contexte nucléaire. On peut développer les systèmes de sécurité les plus efficaces contre les erreurs techniques, on n’est jamais à l’abri des erreurs humaines. Les principaux accidents nucléaires – Three Miles Islands (1979), Tchernobyl (1986) – ont été provoqués par des erreurs humaines. Le nucléaire exige une sécurité sans faille. C’est une technologie «pour les anges», mais trop dangereuse pour les faillibles humains si facilement négligents quand la routine s’installe, quand la surveillance se «fonctionnarise». À cela s’ajoute, et c’est ce que les événements de Fukushima nous rappellent, l’appât du gain financier sous forme d’économies. Comment expliquer que des ingénieurs, parmi les meilleurs de la planète, se soient contentés d’un mur de sécurité de moins de sept mètres de hauteur contre les tsunamis, dans une des régions les plus exposées aux risques sismiques de la planète ? Avait-on oublié les vagues de plus de vingt mètres des tsunamis précédents ? Rappelons que le terme tsunami est un mot japonais. Comme pour n’importe quel projet de ce type, la question de la sécurité a sans doute été discutée au moment de l’évaluation des devis pour la construction des centrales. On l’évalue en termes de probabilité d’un accident. Il n’existe pas de risque zéro. Mais en pratique, comment prend-on la décision ? C’est là qu’intervient le conflit entre la sécurité et le profit. Ici on a favorisé le profit. On a joué et on a perdu, en livrant des dizaines de millions de personnes aux aléas des mouvements géologiques et des vents. De telles erreurs sont possibles et de tels malheurs arrivent dans bien d’autres contextes. La différence, c’est que ces accidents n’ont pas nécessairement une incidence planétaire. Ils ne mettent pas en danger la vie de milliers de personnes. Ce conflit entre la sécurité et le profit est pour moi une des raisons pour laquelle je pense que le nucléaire est une activité trop dangereuse pour être confiée aux « humains trop humains » (pour reprendre l’expression de Nietzsche). On ne laisse pas les enfants jouer avec les allumettes. Vous racontez dans votre livre Mal de Terre (2003 ) que vous étiez d’abord favorable à l’énergie nucléaire, mais que vous avez changé d’avis. Pourquoi ? Le nucléaire, ce n’est pas le diable en soi, mais c’est une technologie qui doit être sans faille. Regardez ce qui est arrivé à la Nasa : toute la technologie dont elle disposait ainsi que son expérience n’ont pas pu empêcher l’explosion d’une de leurs fusées. Sauf qu’avec l’énergie nucléaire, les dommages peuvent se compter en milliers de morts. Regrettez-vous d’avoir accepté, en 2007, que le nucléaire ne figure pas au menu du Grenelle de l’Environnement ? Non, car c’était un choix stratégique de la ligue Roc et des autres associations environnementales. À vouloir aborder tous les sujets lors de ce Grenelle, nous n’aurions rien obtenu. Maintenant, avec les événements du Japon, il faut en débattre, comme cela avait été promis, et savoir tirer les leçons de Fukushima. Ainsi, quand le président Sarkozy affirme que pour chaque euro dépensé pour le nucléaire, il faut mettre un euro pour les énergies renouvelables, j’ai envie de lui répondre : non, c’est 100 euros qu’il faut investir pour le solaire et l’éolien.