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Pour les 45t je pense qu’il y a des collectionneurs (pour quelques uns) mais je ne crois pas que tu les trouveras ici. Ou alors tente le boncoin, on sait jamais 😉
Encore sur le format de Chris Hulsbeck (TFMX) on peut réussir à faire quelque chose plus rapidement car il y a un doc expliquant le format. Mais là aussi on se heurte à un léger problème face au standard PT.
1° C’est un octatracker (8 pistes)
2° Il est sur 5 octaves (comme .dw)
C’est sans doute la raison pour laquelle les conversions vers le format .mod sont si difficiles à trouver.
Houlà! Ne nous emballons pas ^^
Ce n’est pas parce qu’il y a de l’eau qu’il y a forcement de la vie. Et puis si vie il y a, peut-être est-elle sous forme végétale ou/et protozoïque.
Comme je l’expliquais sur un autre forum, le format .dw est un format très à part. La partition n’est pas codée sous forme de pattern comme la quasi majorité des trackers mais en séquence monopiste. Recréer les patterns n’est pas d’une grande complication mais c’est le décodage des données qui font l’ensemble des notes et des effets qui est plus difficile. Si pour les notes on s’en sort un peu pour les effets c’est une autre histoire.
J’avais construit une première version mod de speedball en détournant tout les évènements envoyés au blitter mais cela n’a pas été une si bonne idée que cela car les effets ont mal été retranscrits. J’ai donc tout repris depuis le début.
A terme j’essaierai d’écrire un code en asm pour nous permettre de convertir ce style de fichier. Ce ne sera pas évident car les points d’encrage sont différents selon le nombre de samples ou la longueur des séquences mais ça vaut la peine d’essayer 😉
En effet, ce projet à bien existé puisqu’il a été primé le 28 janvier 1987. Mais dans ce billet je retiendrais tout de même cette phrase:
« L’aspect cocasse de la cérémonie venait du contraste entre la qualité des parrains et le désintérêt pour les logiciels primés que personne n’a vu ni demandé à voir »
Elle corrobore en elle même certains faits de l’affaire (sans rentrer dans le cadre très personnel) que j’ai lu précédemment.
Je ne me permettrais jamais de porter un jugement sur « YT » mais je pense simplement que sa colère (preuve évidente qu’il doit avoir très mal vécu cette « trahison ») noircie ses propos. C’est un vrai plaidoyer sur fond de « scandale » qui pourrait porter le simple titre « j’accuse »
Je viens de lire les accusations de « YT » qui finissent en un règlement de compte socio-politique très personnalisé. Effectivement, les informations sont, si elles sont vérifiées, intéressantes. Mais, il faut tout de même lire tout ceci que d’un oeil.
Quant au projet cité lui même que dire? Info ou intox?
Ca ne m’étonne pas que la CAMIF ait trainé dans ce style d’histoire louche. Il faut dire qu’à l’époque elle avait le monopole sur la vente de matériels Thomson pour l’enseignement (et accessoirement pour les particuliers). Mais je ne sais pas si cette branche était réellement une poule aux oeufs d’or pour la société.
En tout cas bravo pour ton travail d’investigation. C’est très instructif.
J’ai découvert la micro-informatique en 1983 (par là). A cette époque le plan IPT n’était pas encore voté (peu être une idée) et ce fut sur un simple TO7. Depuis, je suis devenu fan de ce concept; offrir la possibilité d' »inventer » son jeu ou son programme à partir d’un langage simple. Plus tard, ce fut l’arrivée des MO5. Ils peuplaient les salles d’informatique tous reliés à un « serveur », un goupil de mémoire. En effet ce fut là aussi quelque chose de magique à mes yeux. Peu après on pouvait même se connecté à un réseau via le minitel. Bon il a fallut attendre la deuxième génération (1986).
Pour moi, malgré le fait que je n’ai pas été franchement séduit par sa ludothèque, Thomson m’a permis de découvrir un univers différent fait de créativité. Bien entendu, c’est bien dommage que les politiques et l’industriel ont plutôt choisis de conduire leur machine au casse pipe. Mais une génération entière se souviens encore avec nostalgie de ces machines sans prétention. Et que nous le voulions ou pas nous possédons une partie de cet héritage qu’elles nous ont légué. C’est là, la vrai victoire de leur créateur 😉
Le ST ou l’A500, l’A500 ou le ST? C’est une bataille qui dure depuis près de 30 ans et pourtant il n’y a aucun vainqueur et de par ce fait aucun perdant.
Ce sont deux machines différentes qui ont chacune leurs qualités et leurs défauts. Si l’on compare la bibliothèque ludique l’Amiga est gagnant mais si l’on compare la bibliothèque professionnelle (on l’oublie souvent celle là) le ST est gagnant. Souvenez vous, les logiciels steinberg. A ce propos de nombreux compositeurs ont travaillé sur ST notamment Jean Michel Jarre qui à composé l’album ZOOLOOK avec Pro24. Donc tout dépend du point de vue. Ainsi 1 partout balle au centre 😉
Niveau système d’exploitation le workbench est tout de même mieux, il faut l’avouer. Mais le fait qu’il soit non résident m’a poussé à me séparer de mon Amiga. En effet, a force de lecture la d7 est devenue illisible et à lépoque on en trouvait pas à tout les coins de rue. Ainsi 1 partout balle au centre.
Je pourrais continuer la liste mais c’est inutile autant que cette chamaillerie qui n’a plus cours de nos jours, car notre seul combat c’est de permettre à ces machines d’un autre age de continuer à subsister quelques soit leurs capacités
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