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elgringo : à l’époque, le PPC n’était pas mort-né, loin s’en faut ! Il tenait la dragée haute aux Pentium fraichement débarqués (PPC 601, 602 et 603). D’ailleurs, il n’est toujours pas enterré, puisque majoritaire dans les systèmes vidéoludiques (Xbox, PS3, Wii, la prochaine console de Nintendo), a sa place dans le monde de l’embarqué et se développe encore.
Pour en revenir au sujet, je pense que Commodore nous aurait sorti le AAA, à savoir une sorte de super AGA qui aurait été juste dans l’air du temps des machines moyenne-gamme concurrentes, sans plus. Le tout accompagné de 68030 en entrée de gamme, 68040 en haut de gamme. En fait, je vois les choses ainsi :
-un A1300 (ou qqch du genre) équipé de 68030 (surement 25Mhz, peut-être 16), 4 ou 8Mo de chip, éventuellement de la fast en option, AAA, lecteur CD embarqué (c’était la mode de l’époque, le CD-multimedia vendu par Microsoft, même si ça existait depuis belle lurette).
-Un A5000 (ou assimilé) à base de 68040 (Disons 25Mhz pour remplacer le 4030 et 40Mhz pour remplacer le 4040 en gamme), avec AAA, lecteur de CD, 8Mo de chip et de la fast en option, peut-être un DSP en option.
-peut-être un A700 (ou assimilé) à base d’AGA, 2Mo chip et 2 ou 4Mo fast, 68020 à 14 ou 16Mhz, lecteur de CD éventuellement… Pour écouler les stocks de composants dans une bécane pas cher ayant pour vocation de remplacer l’A600.
Je pense que Commodore aurait espéré pouvoir gagner assez de temps pour développer la gamme suivante, qui aurait peut-être été celle qui aurait fait bouger les choses. Sauf si la direction avait encore annulé les projets en cours. Et bien sur, là il aurait été quastion de 3D pour suivre la mode de 3DFX.
Concernant l’OS, je pense qu’on aurait surement vu un AmigaOS 3.2 plus qu’un 4.0, du moins dans un premier temps. Ou alors, peut-être un 4 qui aurait apporté des changements limités (pile TCP/IP pour entrer dans le monde professionnel, interface légèrement retravaillée avec les boutons ronds, qqs utilitaires en plus, mise en place d’un système RTG dans le but d’uniformiser/standardiser les plate-formes AGA/AAA et la future plate-forme, un équivalent d’AHI… Bref, de quoi simplifier les développements ét évolutions futures).
Eggman : c’est exactement la carte en question. Il faut comprendre que les A3200/A3400 sont les pré-séries et la première série de carte A3630 (c’est donc les mêmes cartes). Commodore l’avait appelée ainsi à l’époque et avait prévu de faire une version du A4000 à moindre coût, équipé d’un 68020 (projet abandonné ensuite).
Commodore A3200/3400, nom interne de chez Commodore (à l’époque des protos du futur A4000) pour la A3630.
Je pense pas qu’on puisse la mettre sur un A500 ou un A2000, les ports d’extension ne sont pas les mêmes de mémoire. Par contre, elle doit pouvoir se mettre dans un A3000, utile pour les 3000 à 16Mhz (ou en poussant la A3630 à 33Mhz même pour les modèles à 25Mhz).
Apple est rarement partageur. Dés qu’ils acquièrent une technologie, ils se la gardent pour eux-même. Donc je ne pense pas qu’il vendront de processeur PPC à d’autres compagnies, dont exit ces processeurs sur nos AmigaOne et autres Pegasos.
Avec le passage sur x86, Apple à relancé ses ventes, à rassuré les investisseurs et s’est attirée une nouvelle clientèle. Je ne les voie pas faire de retour arriére (du moins dans la branche informatique portable/bureau traditionnelle), d’autant plus que ça les priverait des clients intéressés par le support de Windows et que ça complexifierait leur gamme (ce que Steve Jobs n’as jamais aimé, d’où l’absence de tour milieu de gamme actuellement). Par contre, il reste d’autres gammes. Par exemple, ils pourraient utiliser le PowerPC basse consommation pour :
-un set top box censé remplacer l’AppleTV : une machine peu encombrante, consommant peu et fermée aux applications externes est l’idéal dans cette situation. D’autant plus qu’Apple à toujours cru à la vente de médias en ligne.
-des outils portables, basés sur du PowerPC basse consommation.
-pourquoi pas se relancer dans les consoles de jeux ? Ce marché est porteur actuellement, massivement basé sur du PPC et Apple s’est rapprochée récemment d’éditeurs de jeux (je pense à cider sur Mac avec EA par exemple). De plus, Apple s’était déjà essayé à ce marché avec la Pippin.
De plus, la sociétée rachetée fait également du ARM si je ne me trompe pas (ou en a les compétences). Idéal pour les iPods, iPhone et autres produits de poche grand publics.
Bref, avec cette acquisition, Apple s’ouvre de nouveaux horizons, se réserve des technologies, se met à l’abri de blocage de négociations avec des fournisseurs (en se laissant la possibilité de quand se fourbir ailleurs), se donne plus de poids en négociation et par dessus le marché se permet de concevoir des puces sur mesure pour ses besoins.
Bref, adieu toute évolution du PowerPC pour nous ailleurs que chez IBM et Freescale.
Edit : j’avais oublié que ces processeurs peuvent aussi permettre à Apple de produire des serveurs basse consommation, du matériel embarqué pour les automobiles (tiens, il n’y avait pas eu un embryon d’accord avec le groupe VAG pour travailler sur l’ergonomie/équipement des véhicules ? Qui s’était soldé par un échec il me semble) et pour l’aviation, des supercalculateurs (leur système étant reconnu comme Unix…), des stations de travail spécifiques à certains domaines et vendus uniquement aux professionnels, etc…
Rââââh mais euh, tu lis nos réponses au moins ? On t’as indiqué chaque déclinaison de l’OS, sur quel materiel exactement ça tourne et avec quels processeurs et toi tu nous sors la question bateau « ça tourne sur mon Mac Mini Intel ? ». De même, j’ai indiqué quel matériel est encore produit ou non et toi tu pose la question…
Désolé pour les autres, mais les gens qui posent des questions et ne lisent pas vraiment les réponses ça m’agace.
Lis bien nos précédentes réponses, tu as les solutions dedans.
Aprés les systèmes et l’état d’esprit, passons au hardware.
Niveau hardware, il y a trois grandes familles :
-l’Amiga Classic. C’est la gamme développée par Commodore de 1985 à 1993. Il s’agit des Amiga 500 à 4000. Ces machines disposent d’un hardware propriétaire, avec leur propre chipset (nommé OCS, ECS puis AGA au fil des évolutions), leur propre bus d’extension (Zorro, équivalent du PCI sur PC mais incompatible) et reposant sur des processeurs Motorola 680×0 (gamme allant du 68000 à 7Mhz (équivalent 286) au 68060 à 75Mhz (équivalent Pentium premier du nom)), nommé également 68k. Pas de carte graphique de base, ni de carte son, tout était géré par le chipset (en avance sur son temps). Pour répondre à certains besoins ou pallier à l’abandon de l’évolution de la gamme suite à la faillite de Commodore en 1994, des cartes d’extension sont arrivées (cartes son, graphique, réseau, SCSI, etc…). Les derniéres cartes permettent d’utiliser des cartes PCI du monde PC sur Amiga, ajoutent des processeurs PowerPC (comme sur Mac) allant du 603e (160-270Mhz, puissance à mi-chemin entre Pentium et Pentium Pro) au 604e (150-233Mhz, puissance à mi-chemin entre Pentium Pro et Pentium 2). Ainsi, on a maintenant des vieux Amiga Classics équipés en PowerPC, Voodoo 4, carte réseau PCI,… Avec un processeur de la gamme 68k, c’est AmigaOS 1 à 3.9. Avec un processeur PowerPC, on peut installer MorphOS ou AmigaOS 4. Malheureusement, ce matériel coûte trés cher (car rare et trés recherché).
-Les Amiga next-gen. Il s’agit là de nouvelles cartes 100% PowerPC faisant tourner MorphOS ou AmigaOS 4. Ces cartes-méres ressemblent à une carte-mére de PC basique : chipset standard, cartes PCI et/ou AGP, ram SDram ou DDR… Les Pegasos (deux générations, la premiére buggée, processeurs allant du PowerPC G3 à 600Mhz au G4 à 1Ghz) font tourner MorphOS. Les AmigaOne (modéles XE, SE et µ (comprendre Micro), processeurs G3 à 800Mhz à G4 à 1,2Ghz) font tourner AmigaOS 4. A noter les cas spécifiques que sont l’Efika (mini-carte mére intégrée à 400Mhz et 128Mo de RAM soudée) qui devra à terme faire tourner MorphOS (quand la version 2 sera sortie) et le Sam440ep (Micro-ATX) qui devra faire tourner AmigaOS 4. Un portage de MorphOS (officiel) est en cours sur Mac Mini PowerPC (un portage non-officiel et inexploitable d’AmigaOS 4 existe aussi sur cette bécane).
-Les PC. On y fait tourner AROS, le clone libre et gratuit d’AmigaOS. Malheureusement, il casse la compatibilité avec toutes les applications existantes. On peut aussi, comme décrit plus haut, émuler AmigaOS 1 à 3.9 (émulation hardware Classic).
Edit : le hardware Classic n’est plus produit (à part quelques rares extensions) et coûte trés cher (aussi bien pour les extensions neuves que pour l’occasion). Les pegasos 1 & 2 ne sont plus produits mais se trouvent à partir de 200€ en occasion. L’AmigaOne XE, SE et µAimgaone ne sont plus produits et sont trés rares en occasion. L’Efika est encore produit de même que la Sam440ep, mais aucun OS Amiga/MorphOS ne tourne actuellement dessus (développement en cours).
SoundSquare : je ne dénigre pas, je fais simplement remarquer (comme toi) que Genesi n’as pas les moyens d’un Apple justement. Ils vont chercher les marchés rentables.
Et les marchés rentables, c’est quoi pour une petite compagnie ? L’embarqué (d’où l’Efika). C’est pour ça que je n’y croit pas, le marché du desktop est déja bouffé par les grosses bécanes quadri ou octo-cores à base de x86 produites par IBM, Apple, Sun, etc… Quand à la majorité du marché desktop, c’est du Mac sous MacOS ou du PC sous Windows. Un Pegasos PPC desktop n’aurait pas sa place là-dedans.
Pour ceux qui font du PPC, il reste trois débouchés :
-l’embarqué (Genesi s’est engouffré dedans, c’est le marché où on peut percer le plus facilement).
-les supercalculateurs à base de centaines voire milliers de processeurs (à ce niveau, hormis à avoir des moyens financiers énormes et une réputation inébranlable il est hors de question d’entrer dans ce marché).
-les consoles de jeux (là, il faut soit être producteur de processeur, soit être un grand nom de l’électronique soit être le sous-traitant qui produit pour les deux premiers cités).
Bref, voilà pourquoi je ne croit plus à un Pegasos Desktop digne de ce nom. On ne bénéficiera à l’avenir que de solutions embarquées comme l’Efika (peut-être en plus puissant/ouvert en fonction du marché). Et Genesi à bien fait de choisir cette voie pour sa survie. Même la SAM440 est une petite carte qui peut se faufiler dans de l’embarqué !!!
Je pense que c’est de l’esbrouffe, un beau bluff. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons :
-deux projets étaient déja engagés (Pegasos 8641D et OSW à base de bi-G5) alors pourquoi en engager un 3é ?
-multiplication des coûts de developpement avec les autres projets, c’est mauvais.
-coût d’une bécane bi-G4 (déja évoqué) supérieur à celui d’un 8641D je pense.
Je pense qu’on à plus de chance de voir arriver un Pegasos 8641D qu’un bi-G4. C’est déja commencé, c’est moins cher et c’est moderne. Mais bon, même le 8641D je n’y croit plus guére…
Mouhahahahaha ! Un beau moyen de justifier l’attente qu’ils nous imposent.
Franchement, quand on voit la liste de nouveautés prévues pour MorphOS 1.5 :
-Pile TCP/IP avec interface
-MUI 4
-Nouvelle Version d’Ambient
-Noyeau avec support de l’Altivec
-Editeur de texte intégré
-Nouveaux pilotes 3D (déja diffusés, soit dit en passant)
-Et d’autres choses encore…
Bah franchement, ce MorphOS 2.0 sera en fait le 1.5 renommé à son juste titre, si il sort en effet sous ce nom là.
Mais quel foutage de gueule… Ouais ouais, MOS 1.5 arrive en 2005… Bah en fait, ce sera début 2006… Mais y’a des problèmes de thune là… Mais 2 more weeks quoi… Voilà qqs mises à jour en attendant, mais promis ça arrive… Y’a l’Efika, bien sur que ça arrive… 1.5 More week, on est en 2007… En fait, ce sera MOS 2.0 bientôt, si si, mais les détails seront là bientôt…
Beau foutage de gueule. Franchement, MOS avait de l’avance sur OS 4. Maintenant, c’est l’inverse.
Et BBRV qui se méle de ça alors qu’il n’en fait même plus partie et qu’il n’as aucun droit dessus, mais bon il se justifie avec un don dont on n’a aucune preuve…
J’vous jure…
ACE : tu fais le même amalgamme que les majors veulent bien générer entre droit d’auteur et diffusion.
Pour moi, le droit d’auteur c’est : j’ai créé une oeuvre, je ne veux pas que quelqu’un la recommercialise sous son nom et en tire le bénéfice.
La license globale et le mode de diffusion n’as rien à voir là dedans. Par exemple, on peut copier une oeuvre pour en bénéficier à l’écoute ou en la regardant sans en retirer de fric.
Screetch : tu connais des maires capables de m’apporter des signatures ?
Pour les tarifs, je pense qu’ils seraient appropriés. Ils correspondent peu ou prou au tarifs respectifs d’un CD ou d’un DVD en nouvelle sortie, ou alors un peu moins pour les deux combinés. Franchement, on ne peut pas raisonnablement donner moins aux artistes et maisons d’édition. Ensuite, ça leur apporte ça en plus chaque mois…
Regarde les tarifs d’une bibliothéque : ça correspond à peu prés (d’aprés mes souvenirs) au tarif d’un livre de poche par mois.
Dieu, se sentir limité avec une telle config ? C’est de la folie !!!
logo : quoi q’en en dise, si la license globale était instaurée même pour les oeuvres récentes, je suis sur que le commerce ne mourrait pas. Il s’adapterais pour devenir plus attractif avec des offres, des coffrets, de la plus-value sur les produits quoi. Et les inconditionnels, les fans continueraient à acheter en magasin des produits qui sont « physiques ». Sans compter tout les technophobes qui continueraient de passer par la voie traditionnelle.
Buse et fier de l’être. :p
Logo : 80€/an ???!!!??? Désolé de le dire comme ça, mais t’es un sacré malade : ce ne sera jamais assez pour rapporter convenablement aux artistes et aux majors. Je pense qu’il faut compter minimum 15€/mois, soit 180€/an, juste pour la musique. Bien sur, je suis d’accord sur le principe de minorer pour les chômeurs et les retraités. Minorer pour les jeunes ? Aucun interêt, il vaut mieux faire une license par connexion à internet, soit donc par foyer.
Actuellement, c’est surtout le système de distribution des oeuvres et de redistribution des fonds qui n’est pas adapté.
Le téléchargement illégal à montré que de nouveaux besoins existent :
-accés illimité à la culture.
-envie de faire découvrir et de partage des connaissances et goûts.
-accés facilité à la culture.
-ne pas « calculer » et ne pas s’encombrer d’un budget à gérer pour ce type de dépenses.
Les majors aussi bien que les artistes ont une possibilité de trouver un arrangement dans tout ceci. Ca passe par la license globale. En effet, le budget n’est pas extensible pour les ménages : on achéte ce qu’on connait et pour la découverte, on n’as plus trop de fonds à placer n’importe comment. D’un autre côté, les majors dépensent des fortunes pour promouvoir des artistes, afin de pousser à la découverte justement. Et plein d’artistes de talent n’arrivent pas à se faire connaitre. Si on adoptait la license globale, la découverte serait facilités (plus de prises de risques) : moins de budget promotion pour les majors avec le bouche à oreilles, des ménages qui n’hésitent pas à « essayer » un artiste, des artistes qui sont distribués plus facilement…
Bref, c’est tout bénéf pour chacun. Ensuite, il faudrait des logiciels de téléchargement qui se connectent à des serveurs « authentifiés », serveurs qui renverraient leurs stats de téléchargement à un organisme d’état. Cet organisme serait le même qui percevrait les revenus de la license globale. Avec les stats reçues, il redistribuerait les fonds aux majors ayant produit les artistes téléchargés mais aussi aux artistes téléchargés en fonction de leurs « parts de marché » directement. Comme ça, le redistribution est équitable : majors payés pour les moyens mis en oeuvre, artistes pour les oeuvres,…
D’un autre côté, le système commercial actuel perdurerait : un nombre conséquent de personnes préférent acheter en « dur », un support physique. De plus, les majors et réseaux de distribution conventionnels pourraient faire des actions promotionnelles (pas dans le sens réduction de tarif, mais faire la promotion de quelque chose, un gros coup de pub) et vendre des coffrets, supports avec valeur ajoutée (livrets, oeuvres intégrales, etc…). Ca apporterait une rétribution supplémentaire au système de license globale, car ça toucherait une bonne frange de la population : les non convaincus par le tout numérique immatériel, les fans, les non équipés ou raccordés, ceux qui craquent sur un coup de coeur, les cadeaux, etc…
On aurait ainsi un système de double rétribution financiére. La license globale resterait bien entendu optionnelle : charge aux FAI de bloquer les ports des logiciels de téléchargement pour ceux ne désirant pas la payer, ou aux serveurs/organisme d’état chargé de la perception et redistribution de trouver un système pour s’authentifier et ne se connecter que quand on accepte de payer.
Pour ceux contournant le système et téléchargant sans être abonné à la license globale, là il faudrait mettre en oeuvre des sanctions pénales, puisque ce système serait rentable pour chacun et optionnel (une sorte d’abonnement à choisir ou non quand on s’abonne à un FAI).
Imaginez une license globale à 20€ pour la musique seule, 25€ pour le cinema seul ou bien 35 ou 40€ les deux couplés : les majors s’assurent l’équivalent d’une rentrés mensuelle d’au moins l’équivalent d’un film et d’un CD par mois et par ménage. Hors, actuellement, chaque ménage n’achéte pas en moyenne un CD par mois, j’en suis certain. C’est mécanique, avec l’attrait de l’illimité, les abonnements vont affluer et les rentrées d’argent également. Et les ménages seront tous égaux devant la culture.
Bien sur, c’est un monde utopique que je me fait là, mais bon…
