Vos bons/mauvais souvenirs de vos micros à l'époque ?
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En quelques points, que retiendriez-vous de vos ordis (Amiga et autres) pour ceux qui les ont eus à l’époque de leur sortie ?
S’il s’agit de jeux, essayez de vous limiter à quelques-uns, car sinon ça va vite être le bordel 🙂
Philips VG 5000
Mon premier ordi. Pas grand chose de positif à en dire, jeux moches, machine ultra limitée, mais au moins j’avais l’impression d’avoir plus de liberté qu’avec l’Atari 2600 que j’avais précédemment.
Atari 520 STF
Les plus :
-Un gouffre le séparait du VG5000, même pas de comparaison possible, j’étais émerveillé.
-Les démos/Cracktros
-Les copy-parties chez un pote
-Dungeon Master (la méga claque !!!)
-Speedball
-Xenon 2
-Maupiti Island
-Cadaver
Les moins
-Outrun : moi qui étais fan de l’arcade, quelle déception lorsque je l’ai lancé sur le ST, d’autant plus qu’il s’agissait de mon premier jeu original, et même du premier jeu que j’ai lancé tout court je crois.
-Double Dragon: idem
– les scrollings pas toujours très fluides.
Amiga 500+
Les plus :
-Le son: le premier jeu que j’ai lancé était Lotus II ( au début je croyais que ça ne fonctionnait pas car j’avais oublié de brancher les rca !!). Une grosse baffe !
-Les parties de Hired Guns/Chaos Engine avec mes potes
-Project X
-KGB
-Black Crypt
-Heimdall
Les moins
-l’incompatibilité du 500+: j’avais eu le kit advantage, avec 5 jeux fournis qui plantaient lamentablement ! La faute au nouveau Kickstart mais c’était quand-même fort de mettre des jeux incompatibles en bundle ! Plus tard, j’ai découvert Relokick !
-Les séances de grille-pain interminables avec les disquettes : j’adorais EOBII mais y jouer était un véritable enfer avec un seul lecteur !
-La souris bien naze, qui est bien vite tombée en panne (boutons cassés)
-Les jeux qui utilisaient la barre d’espace en plus du bouton du joy. Je me rappelle que j’avais mis l’amiga à terre pour actionner la touche avec le pied, mais je ne sais plus pour quel jeu.
-L’amiga (et le ST) qui vivaient leurs dernières heures supplantés par les consoles (je passais mon temps chez un pote qui avait une megadrive (ahhh Streets of Rage 2) ou par le pc.
Au final, j’ai gardé mon Amiga pas mal de temps, mais je bavais sur le pc d’un ami de mon père (Warcraft), mais le prix de ces machines les mettaient hors de ma portée (j’étais encore étudiant).
Quand j’ai commencé à bosser en 1997, je me suis acheté une N64 (Ahh Goldeneye), puis un Pentium II 266 en 1998 (Total Annihilation, Fallout, Starcraft, Blade Runner).
Et…il y a environ 3 ans à 40 berges, je me suis racheté un Amiga, puis un Falcon, puis un Atari STE 🙂
Amiga 1200+aca 1233n@40Mhz / Atari Falcon 030+CT60e@95Mhz/Atari STE 4Mo.
Franchement, je n’ai conservé aucun mauvais souvenir de la trousaine de micro que j’ai pu avoir…
A chaque fois que “j’abandonnais” un standard, c’était pour aller vers un autre qui m’avait émerveillé (l’Amiga ayant été celui que j’aurai, hors Pc, gardé le plus longtemps).
Cependant, qui dit abandon ne dit pas oubli et jusqu’en 2004, il m’arrivait souvent de ressortir les très vieux juste par nostalgie :).
Depuis, seuls mon Mac Plus, mon Amiga 1200 et mon ST sont encore sortis mais je conserve toujours les autres avec bienveillance, oui, même le Vidéopack tout pourri que je n’ai pourtant branché qu’une seule fois ^^.J’ai démarré avec l’A500 starter kit: Kick Off, FA/18, Indy 3, Kindwords, Fusion Paint vers 87-88.
Le meilleur souvenir ? L’excitation du gamin qui rêve de ça depuis des années, durant l’achat, le retrait de l’ordinateur à la Fnac, puis le trajet, le déballage,…
Je précise que ça aurait pu être un Atari, un Amstrad, j’aurai autant été émerveillé: je n’y connaissais absolument rien à l’époque.
Je serai peut être pas sur ce genre de site pour en parler si ça n’avait pas été un Amiga par contre 😉
Juste deux trucs (en relation avec le calcul de la 3D) : la limitation de la mémoire et la faible rapidité de calcul.
Mais sinon que de la satisfaction, aujourd’hui encore et après toutes ces années, si je ne devais en choisir qu’un pour toute ma vie ce serait mon amiga.
Mauvais souvenir…. Hummmm, j’en ai hein.
A500 pété (je ne sais plus pourquoi, récup de je ne sais plus qui aussi d’ailleurs).
Je bricole et répare mon A500 sur mon bureau ou c’était ça place d’origine, écran en face de moi ou plus exactement une petite TV.
Amiga 500 complétement réparé et fonctionnel, je pose ma pince plate sur l’écran (Errrrreeeur… pas bonne idée, ce n’est PAS une surface plate).
J’allume l’amiga (qui boot, super), la pince glisse et tombe sur la carte mère de l’amiga allumé…
-_-‘
GAME OVER
Je bavais sur un 6128+ d’un ami, la gameboy me faisait de l’œil, mais je n’avais pas les sous 🙁
Mon premier ordi : un Amstrad pcw8256 d’occasion
Puis comme Léo, j’étais fou avec mon Amiga sorti de la FNAC !
Idem plus tard avec mon premier disque dur, encore plus tard ma première carte 68030/8Mo…
Je n’ai plus ressenti ça depuis, le matériel neuf ne me fait ni chaud ni froid.
Côté softs, les pinball, dynablaster, prince of persia, flashback, another world, scala, Amos… J’étais aux anges.
Depuis j’ai un peu joué à GTA3 sur PS2, quelques freewares ou jeux pas chers (world of goo, mini metro, 2048…)
J’ai même acheté pas mal de jeux PS2 d’occas et des Jeux Amiga sur cédé, mais je n’y ai quasiment pas touché.
Le 1260 fait tourner les démos et les jeux 3D, le 1230 les jeux whdload, le 500 gotek et la CD32 leurs jeux respectifs…
Ubuntu m’avait remis un petit peu de baume au cœur en 2005-2010 (j’aimais bien la philosophie), idem pour le pi en 2016.
Pas de si mauvais souvenirs :
Disque dur neuf pété (on bricolait devant xfiles, on a inversé les tensions…)
Disque dur de remplacement qui repasse de 1,2go à 1go, le boucher me l’avait balancé, secteurs défectueux…
Modpremier ordinateur vg 5000 et toutes ces heures a retaper les listings d’hebdogiciel … sur un clavier plutôt du genre chiant.
Mais j’aimai beaucoup le vg 5000 malgré tout et je commençais a bien maîtriser son basic (j’avais créer un jeux mi casse brique mi shoot’m up avec scroling verticale)
jouer a turtle, un jeux de moto avec des grenades, ou encore un jeux d’avion d’on j’ai oublier les noms
mon voisin lui avait des parents riche et il avaient toute la panoplie amstrad cpc 6128, ca en jetait a l’époque.
buble buble ,rick dangerous, crazy car … et toutes ces jeux sur une seul d7 whouaaa.
Puis un jour un copain m’invita chez lui et la il avait un atari 520 ste …
et la ca été la claque (de ma carrière oui) sons digitalisé plein de couleurs j’étais scotché.
du mickael jachson sur protracker (ou equivalent m’en rappel plus tres bien)
jump jackson,shuffle puck café,xenon 2
decouverte de cubase ….
j’en ai parler a mon frere qui s’en ai acheté un (990 francs c’etait les derniers et ca commencait a etre dur d’en trouver en magasin) des heures et es heures de partie ou je me suis dit que moi aussi j’aimerai bien un atari.
Mais j’allais pas acheter un atari alors que mon frangin en avait un …
j’en avait un peu marre que l’ont parle de l’amiga par ci l’amiga par la y en avait que pour lui dans tous les magazines.
mais tant pis je voulais mon ordinateur alors, j’ai demander a ma mère (et oui j avais pas le permis) de m’emmener a auchan et j’ai dépenser toute ma tirelire. Je m’achète un amiga 600, 990 francs également.
La claque ne fut pas si grandiose que le st puisque je m’était habitué mais grosse claque quand même et surtout ca a été le départ d’une grande histoire d’amour entre moi et cette machine.
Mes premieres composotions musicale sur dss 3.0
turrican 2
pp hamer
another world
sleepwalker
flashback
quel qualité, quel machines whouaa.
bref j’arrete la car ce serait trop long.
mes mauvais souvernirs:
les années avaient un peu passé et l’amiga était en declin mais ne voulant pas laché l’affaire, j’ai acheté un amiga cd 32 chez boulanger.
comme l’atari de mon frangin, pour trouver un cd 32 devenait compliqué mais j’ai reussi a en avoir une.
La je dis a mon frangin: tu vas voir c’est un nouvel amiga et il a l’aga c’est un mode avec pleins de couleurs et tout.
Je branche la console et la … image toute rose toute dégueulasse .
je regarde la mini din du cable video et stupeur il etait cassé.
pas grave on branche la console en s/video et c’est partit pour jouer …
mais la magie n’a jamais opéré, mon frère est repartit et moi je suis rester avec mon cd 32 a 2490 francs.(une fortune a l’époque)
mon deuxième mauvais souvenir.
les années encore passé je décide cette fois ci d’acheter un a1200 et comme maintenant je bossais j’allais m’offrir une belle tour ateo concept et ca pixel 64 avec os 3.5 !
(salut les gars) on habitait dans la même ville j’étais sidéré de pouvoir trouver du matériel amiga si proche de chez moi.
je monte le tout dans la tour et au moment de l’allumé je me souviens plus ce que j’ai fait mais ce que je me rappel c’est que j’avais grillé la cm et a l’epoque pour trouver un cm c’était la mort .j’étais deg ca m’avait couté une fortune.
voila apres pletor de machines entres les mains,les années qui passent, d’espoir de déception il n’y a que la vampire maintenant qui m’enthousiaste quasiment autant que dans ma jeunesse .
je reutilise mon amiga comme je l’utilisait avant, j’ai compris que d’avoir un i7 avec 32 go de mémoire ne m’était pas si utile que ca.
alors je réalise un studio vintage mais ca ce sera dans un autre sujet.
kénavo
De beaux souvenirs de mon coté 😉
1983 un TI-99/4A soldé me fait de l’œil avec sa belle robe dans une vitrine d’une librairie d’Ajaccio, je l’emporte même à l’armée en 1984 dans mon paquetage, planqué au “foyer du soldat” avec télévision dans la chambre et concours entre “bleus” de Pacman, Parsec, Demon Attack et autre Pole position, même l’adjudant devient accroc au TI-Invaders, tu m’étonnes il fallait dégommer des E.T entre deux bières.
Fin de l’armée le TI-99/4A fini en don chez un copain et est remplacé en 1985 par un élégant petit bonhomme vêtu d’habits rouge et noir appelé l’Oric Atmos avec qui je passais mes premières nuits blanches sur L’Aigle d’or et The Hobbit.
Mon travail de magasinier dans le prêt à porter à l’époque consistait à rester dans un sous-sol , seul, je comblais ces moments de solitude en tapant les listing d’Hebdogiciel sans écran histoire d’être discret, enregistré sur K7 et corrigé en rentrant à la maison.
A cette époque il existait un magasin à Paris où tu pouvais louer à foison des logiciels pour toutes les machines de l’époque, premières copies de K7 pour moi vite écourtées par la fermeture de la boutique de location devenue hors la loi entre-temps.
Fin 1985 je flânais à la FNAC au rayon informatique et là je reste quasiment tétanisé devant un jeu d’aventure dont j’ai oublié le nom qui tourne en boucle sur C64, un bonhomme qui se promenait sur le pont d’un bateau, je repars avec un C64 sous le bras et l’Oric Atmos finit chez ma mère qui aimait bien joué dessus à ramasser des dollars sur un des programmes venant d’Hebdogiciel.
Mon C64 effectuait souvent des voyages entre Paris et mon village en Corse ou je passais la moiteur de l’été à tester des paquets de disquettes reçus des quatre coins de la France de Navarre et même du Canada, cela entre deux achats de cassettes et de disquettes à petits budget en général de la marque Mastertronic, qui cachait souvent des petites perles de jeux.
En 1986 j’arrive dans l’informatique par la petite porte dans une banque ou pour débuter je coupe et distribue les listings dans les étages.
Pendant ma distribution je tombe sur un bureau en travaux ou traine dans les gravas un Macintosh que je sauve in-extremis de la poubelle, il me remerciera en rentrant en faisant ronronner son disque dur, mais après une cohabitation exemplaire le C64 et le Macintosh finiront à la vente car passant du papier à petits trous au Pupitrage sur les gros systèmes, un de mes collègue de travail me parlait avec passion d’une étrange machine aux multiples qualités, l’Amiga 1000 !
Interpellé par tant d’amour pour une machine je pars en 1987 enquêté dans un magasin incontournable rue de la république de Paris : AMIE, ou trône le nouveau-né de Commodore, l’Amiga 500, sans hésitation je dépense le fruit de la vente du C64 et de l’Apple, rajoutant à mon achat un peu plus tard, un disk dur externe qui me coutera un deuxième bras.
Une fois branché je comprends enfin pourquoi mon camarade avait tant d’enthousiasme pour cette machine multitâches et multi passionnante.
Multitudes de jeux et de démos inoubliables, utilitaires du genre Deluxe Paint, Scala, tracker qui vous réveillent une âme d’artiste.
En 1991 croyant dans une machine plus performante je vends mon Amiga 500 et son disk dur à un copain dessinateur de petit mickeys, (frère d’un célèbre actionnaire principal du club de rugby à XV Toulonnais) pour acquérir le mal-aimé Amiga 500+ hélas incompatible avec la plupart de mes jeux préférés, ce fut en fin de compte un mal pour un bien car en décembre 1992 je reçu une invitation de la FNAC pour une présentation nocturne du nouveau Amiga 1200 et de son petit frère professionnel l’Amiga 3000.
A ce moment j’ai eu l’impression d’avoir trouvé mon Graal, j’ai hésité entre ces deux chiffres mais le doux mot AGA et le prix plus raisonnable me confortera dans mon choix avant d’entendre madame me voyant arrivé avec mon Amiga 1200 flambant neuf sous le bras « pourquoi tu n’as pas pris le 3000 ? », cette phrase me hante encore certaine nuit depuis, mais mon 1200 ne pas plus quitté depuis même si un certain temps il fut remisé dans un placard et réapparut en pleine lumière grâce à des forum comme Amiga Impact !Les machines qui m’ont marqué, micro mais aussi consoles (je ne faisais pas le distinguo à l’époque car je ne faisais quasiment que jouer). Et puis il y a du beau / du bon dans tout 🙂
– Amstrad cpc 6128 : ma première relation ou presque avec le jeu vidéo. Et l’ordinateur dans ma chambre … A l’époque les parents ne savaient pas ce qu’ils faisaient ! 🙂
Arkanoid, Barbarian, Gauntlet et j’en passe … le pied.
– Amiga 2000 : on rentre dans la cours des grands avec une claque sur les graphismes et les musiques. Je prendrais alors goût aux point & clic et en particulier aux Monkey Island.
– Game Boy : quelle console portable ! qu’est-ce que je pouvais baver sur celle des autres avant d’avoir la mienne ! Tetris bien sûr, mais aussi Mario, Zelda, Gargoyles quest …
– Super Nintendo : la rolls des consoles pour moi, jamais égalée. Mario world, zelda, street fighter II … Les parties entre pote, un truc de fou.
– Playstation 1 : encore une claque technologique, utilisation des cds, le piratage facile rapidement (ça me rappelais lorsque j’étais gamin l’Amstrad et l’Amiga) et donc la pléthore de jeux accessibles facilement
– Mon premier PC Windows : un gateway 2000, acheté à la sueur de mes économies (et aidé par les parents). Les civilization, blade runner, la série des elder scroll, fallout ! Tellement de jeux exceptionnels.
– Enfin, beaucoup plus récent (2009), mon premier iMac (27″) pour la beauté de l’objet et le fait qu’il fonctionne toujours 10 ans après comme un charme
Et je ne crois pas avoir eu réellement de mauvais souvenirs … Le pire étant peut-être d’avoir été assez con lorsque j’étais passé sur PC pour dire à mes parents qu’ils pouvaient donner à Emmaus mon Asmtrad et mon Amiga 🙁
haaa la game boy … ouais moi aussi elle m’en a usé des piles lol.
Après quelques consoles bas de gamme, j’ai réussi à me faire offrir un Amstrad CPC 464 monochrome d’occasion vers l’âge de 13 ans, après avoir longtemps bavé sur les pages des divers magazines de l’époque. J’ai tout de suite été accro, principalement pour le jeux, mais aussi pour le basic intégré.
Les possibilités me semblaient infinies…3 ans plus tard, c’est un Amiga 500 flambant neuf que je réussissais enfin à avoir, après que des amis m’eurent fait comprendre qu’il s’agissait de la machine ultime.
Et là, ce fut le coup de foudre total ! Jusqu’à maintenant…
Les jeux semblaient tout droit sortir d’une borne d’arcade, quelle claque !
Mais encore plus déterminant pour moi fut le jour où j’ai introduit le disk 1 de la Red Sector Megademo, la 1ère démo que je voyais de ma vie.
Un truc hallucinant !!! Il fallait absolument que je comprenne comment il était possible de faire ça… Je me suis mis alors à K-Seka, une cartouche Action Replay, les listings de Génération 4 / Commodore Revue / AmigaNews… et en avant !
Tout semblait possible, les innovations étaient permanentes… tout simplement la meilleure periode créatrice pour moi !
Et mon dernier coup de foudre “micro” 🙁A500 (1.3 / 2.0 / ACA500+) - A2000 - A1200Bhaaa les plus grande frustration … d’avoir taper mon premier programme en Basic avec mon Zx81 ( extension 16Kb ) et comme les gommes du clavier “rubber keyboard” était un peu dur … si on appuyait trop fort … on avait un mauvais contact avec la cartouche, et le Zx81 s’est effacé … LoL depuis lors j’ai compris le mot “sauvegarder”.
Ensuite tout n’a été qu’une suite de micro-ordinateurs.
J’ai continué vers le Spectrum … avec la première protection hardware ( une lentille qu’on devait coller sur l’écran ) pour afficher un code alpha-numérique.
Alors mon pére m’a offert un Sinclair QL à base de 68010 … si je me souviens bien … mais Sinclair c’est prit une gifle , pas ou peu de support ( comparé au ZxSpectrum … ) j’ai mis le QL au placard et j’ai repris un Sinclair +2 ( avec K7 intégré ).
J’étais toujours à l’école … 🙂 et je me suis mis à découvrir dans hebdologiciel … les deux nouveaux outsiders … ( Atari ST & Amiga ).
J’étais prêt à partir sur Atari LoL, et lors d’une visite chez un cousin … il m’a fait visité un ami à lui qui avait à l’époque un Amiga blindé … le mec était déja équipé d’un digitaliseur vidéo …
Le mec m’a montré deux ou trois de l’époque …
Barbarian … et son intro … et je pense que le premier jeu que j’ai joué était … 20 milieux sous les mer !Aprés tout n’a été qu’une suite … apprentissage de l’ASM … mais pas nécessairement programmer, juste comprendre comment fonctionnait le programme.
J’ai gardé tous mes Amiga jusqu’à la réception de mon premier PC ( un Dx4-100 ), et puis plusieurs années aprés j’ai revendu mon dernier 1200 avec une KCS PC emulateur …Depuis j’ai repris , 2*A1200 ( 1230 / Ram / Gotek / Usb … ), 2*ST 540 ( me manque le Falcon mais vu les prix … ) , 1*A3000 + picass IV et 1*A4000, en plus du FPGA Arcade, un Mist … un Aone , un Peg2 …. et plein de vieux ordi … Oric / Un adam computer ( celui de coleco vision ) des sinclair ( QL / spectrum 48+ / Zx81 ).
J’ai arrêté par manque de place … et je compte plus les consoles … Xbox 1 , Xbox 360, 1 PS3 , 1 PS4 , 1 NDS , 1 3DS , 1 Switch , 1 gamecube …. 1 GP2a , 1 Vita … et plein de truc de geek … en plus des mon hobby actuel de réception Numérique / Analogique en SDR et le monde du SAT…....::: Mist - Mister FPGA - FPGA Arcade 060 - ZxUno :::...
...::: A500- A600/Gothek - Amiga 1230 Gotek CF 16GB - A3000 - A4000/30/64Mb/Vlab1.3/Oktagon :::...
...::: Vampire V4 SA :::...
...::: Zx 48/128+2/128+3/QL - Dragon32 - Atari 520STF/1040 :::...
...::: C64 + 1541 / C64 :::...Aurélien, ta réponse me parle, car sont arrivés à la maison :
– CPC 6128 – dans la chambre bien sûr
– Amiga 2000
– Une gameboy (pas vraiment un ordi, mais je la cite pour l’analogie)
– Un PC (Pentium 100 !!!) Gateway 2000 acheté avec les derniers économisés des jobs d’été (et un coup de pouce de parents)
Et que des excellents souvenirs à chaque fois 🙂
Rétrospectivement j’avais toujours un train de retard et ça me cassait les nouilles. J’ai eu un mo5 quand tous mes potes avaient un cpc, un MSX quand les autres avaient un Amiga, un amiga quand mes potes jouaient à ultima underworld sur pc, j’en bave encore…
Ha si j’ai eu un amiga en même temps que mes potes quand l’un d’eux me prêta le sien pour le Week end. Il est revenu le chercher le dimanche soir et il marchait plus, l’alim avait cramé. 500 Frs dans le cul. Mon 1er et seul fist vidéoludique.
Avec l’age et mes petits sous, j’ai eu un 600, un 1200 qui passa en tour quelques années plus tard. J’en garde de doux souvenirs, moonstone, flashback, another world, l’amiga plus fort que toi. Puis le pc passa par là…
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