Si l'amiga avait suivi son évolution
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Bonjour à toutes et tous,
Une simple question si l’amiga avait suivi son évolution correcte je veut pas pas parler d’erreur marketing et autres vu la puissance de la machine à l’époque des dernières version.Et vu que la machine et TOUJOURS d’actualité envers les passionnés jeunes et moins jeunes dont je fait partie.
Je voudrait savoir ou elle pourrait en être cet AMIGA???
Désolé pour les fautes éventuelle de grammaire
Amigalement
On aurait un amiga sur x64 (64bits) qui utiliserait le multithreading de façon hyper-efficace laissant sur place les winows et autre linux 😀
Samuel.
Amiga A500 + GVP530 (8Mo/fpu/mmu/scsi) - en panne 🙁
A500 (+ 1Mo PPS), A1200 (Blizzard-IV/fpu/64Mo)
A500 Vampire V2+ ^8^ 🙂
(mais aussi TO8, TO8D, TO9. Groupe PULS.)Je ne sais pas si l’AmigaOS aurait pu s’imposer face au DOS pourtant bien plus archaïque, mais tournant sur les machines IBM et donc choisi par les entreprises, mais je pense que l’Amiga aurait pu être au moins au niveau d’Apple sur le marché des ordinateurs et surtout être à la place de Sony sur le segment des consoles.
C’était la vision de l’équipe originale. La meilleure console de jeux et ils avaient réussi.
Le livre de Brian Bagnall, « Commodore: A Company on the Edge » est édifiant sur ce qui s’est passé ensuite.
A500+ / A1200 / CD32 et... Jaguar
Si l’Amiga avait suivit une évolution en corrélation avec sa puissance et ses possibilités, son avant-gardisme, etc, et qu’il avait été soutenu par des publicitaires et une équipe de communication COMPÉTENTE (surtout) il tiendrait aujourd’hui la place d’Apple, je pense.
Car parmi les raisons MAJEURES de l’insuccès de l’Amiga, il y a, rien que pour la France, ça :
Moi, j’ai envie de poser plutôt cette question :
et si le monde s’était adapter à l’amiga ?
On, serait moins speed / moins stressé (c’est quoi ce monde où on veut tout tout de suite !? où le clients crises car ils n’ont pas reçu dans la minute le contrat signé par mail, ou bien les plans d’un bâtiment d’architecte ? alors que dans les années 80/90 ont allait au rythmes de la poste (sans vouloir faire de pub… surtout pas !) pour valider chaque petites modifications !
en gros, la vie aurait été encore plus belle avec l’amiga ! 🙂
…bon j’arrête de dire n’importe quoi ^^
un dernier truc, peut-être que si en France on avait plus adopter l’amiga comme en Allemagne et l’UK, il y aurait eu moins de râleurs et plus de personnes créatives et passionnées ! ;p
Pour revenir au sujet, je pense que le Cpu de l’amiga serait de type multitheader comme dit plus haut (genre Gpu Nvidia).
^^ ^^ ^^
Pour moi l’Amiga n’a pas évolué après 1985.
S’ils avaient bougé, en 1990 on aurait eu l’équivalent de l’AGA, avec un disque dur, et du son 16 bit sur 8 voies.
En 1993 on aurait eu l’équivalent de la 3DO à la place de la CD32 totalement dépassée. Avec un peu de 3D en hardware.
Et puis en 1995 le premier amiga PPC avec l’OS hybride ppc/68k a la manière de MacOS 8/9.
Puis en 1999 AmigaOS 5 refait de zéro en conservant les trucs sympas de l’Amiga mais avec un regard vers le futur aurait été présenté.
Dans une démo on lancerait une app avec son/animation dans une fenêtre. Au bout de 10s la demo (impressionnante de fluidité) crasherait: avec l’animation figée et le son qui tourne en boucle.
Alors on lancerait un gestionnaire de taches et en un click on tuerait l’app et toutes les resources associées.
On relancerait ensuite l’app qui fonctionnerait sans problème. Et, à la surprise générale, on en lancerait une deuxième instance, en même temps, qui fonctionnerait aussi avec le son.
Le gestionnaire de l’application montrerait que 2 CPU sont en fait en cours d’utilisation, et que l’OS distribue la charge sur les deux.
En 2000 une version x86 aurait été présentée, fonctionnant sur architecture x86.
Newtek serait de la partie avec un nouveau toaster pour Amiga X (le nom de code de la nouvelle génération d’Amiga).
Team 17 et plusieurs autres éditeurs annonceraient l’intention de sortir ses futurs jeux sur Amiga X.
En 2003, CBM annonce un passage sur x86 définitif et un partenariat avec AMD qui équipera les prochains Amiga X qui seront multi core et 64 bit.
Biensûr AmigaOS 5 exploite sans problème les core aditionnels et les nouvelles instructions 64 bit.
Adobe annonce son intention de porter Adobe Premiere sur Amiga X.
En 2004 CBM annonce un lecteur mp3 « pet ».
En 2006 CBM permet de distribuer librement le kickstart 1.3 (sans en liberer les sources pour autant) tant qu’aucun profit n’est fait.
Toujours en 2006, CBM annonce une console « Amiga retro » qui est fournie avec une vingtaine de jeux. La console prend la forme d’un joystick et se branche directement sur n’importe quelle TV. L’ouverture de la machine révélera la présence d’un FPGA qui réimplemente le chipset de l’Amiga.
Normalement protégé, un groupe de hackers réussi à déverrouiller la machine pour y lancer n’importe quel logociel Amiga.
En 2009, CBM presente AmigaOs 6 et libère AmigaOS 2, toujours sans les sources, mais avec l’ensemble des disquettes cette fois-ci.
AmigaOS 6 est annoncé comme fonctionnant sur AMD 64 et… surprise: ARM.
En 2010, CBM annonce le X-Phone. Un téléphone sous ARM utilisant une version légère d’AmigaOS 6 avec une interface revue pour le touch.
La grosse différence c’est que l’Amiga a une âme… Un PC, c’est du jetable… Un Amiga gardera toujours une certaine cote alors qu’un PC de plus de 5 ans est juste bon pour la poubelle.
A quoi ça tient ? L’époque… L’âge d’or de l’informatique… Quand les PC ont commencé à se standardiser les ordinateurs sont devenus un pur produit de consommation… Là où les Amiga/Atari et consort étaient là pour durer… A l’époque on n’imaginait pas changer de machine tous les 2 ou 3 ans; aujourd’hui c’est monnaie courante !
Regarde ton portable… Il a quel âge ? 1 an ? 2 peut-être ?
Eh bien,je vois que notre amiga quel qu’il soit nous passionne toujours autant.
Pour ma part j’ai migré vers le pc dans les années 90 car commodore, commencé à s’essoufflé (pas de nouveauté etc,etc).Puis la nostalgie de cette superbe machine m’a conduit à i revenir et je ne suis pas prés de m’en séparer à nouveau.
AmigalementAlors je suis un amigaiste de pacotille dans le sens que sorti des jeux et de deluxe paint je n’utilisais rien d’autre, à la rigueur un peu calligari, enfin bref…mais j’ai migré sur PC en 96 à cause d’une formation BAC PRO Maintenance des Reseaux Bureautique et Télématique, du coup j’ai été obligé d’apprendre à me servir de DOS 6.2 et Win 3.11 et Win 95, monter des PC de A à Z , créer un réseau en token ring et configurer des serveurs CISCO etc…en gros faire des trucs compatible avec le marché du travail français…et j’ai découvert l’émulation AMIGA quelques années plus tard…du coup je ne suis pas un vrai comme vous puisque tout ce qui fait le charme de l’AMIGA me passe un peu au dessus, je ne suis amoureux que de ses jeux en fait. Le seul truc qui me faisait baver niveau application c’était les logiciels de montage.
Je pense que l’Amiga, avec une bonne polilitique marketing et un progression technique constante aurait pu s’imposer comme LE standard, ou au minimum comme la machine multimédia par excellence. L’Amiga méritait de prendre les niches du ST et du MAC, puis celle du PC dans les années 90, au moins chez le particulier.
Première chose, dès le lancement, positionner l’Amiga comme ordinateur professionnel. Ne surtout pas se lancer produire de compatible PC et se concentrer sur l’Amiga (comme Apple l’a fait pour le MAC).
Faire porter les gros logiciels de bureautiques pro, à l’exception des logiciels Microsoft. Les concurrents de Microsoft dans ce domaine se sont vite fait avaler sur PC, mais s’il avaient eu une plateforme sans concurrence de Microsoft, ils auraient continuer à la soutenir.
Annoncer que le travail bureautique interne du siège et de toutes ces filiales seront exclusivement réalisé sur Amiga. Cela aurait créé, au moins au début un marché bureautique pour l’Amiga, quitte à faire dévelloper/porter en interne les logiciels bureautiques de base.
Pas de carte passerelle PC officielle, laisser ça aux tierces parties, s’ils le veulent. Par contre une carte passerelle C64/PET sort, au moins au début, pour encourager la communauté C64/PET à migrer (et récupérer les logiciels PRO existant sur ces machines).
Tout faire pour imposer l’Amiga dans les entreprises sur le marché Américain. La carte passerelle PET aurait pu permettre aussi de garder le marché éducatif américain, puisque les écoles US étaient beaucoup équipés de PET.
1985
Amiga 1000 tel qu’il est sortit, mais avec un AmigaOS du niveau du 1.3.
Sortie fin 1985, début 1986 d’une carte SCSI avec disque dur et d’une carte réseau.
Les compatible Amiga sont encouragés.
1987 :
AmigaOS 2.0 (localisé), et avec des icones plus jolie. Il faut une GUI qui attire le regard. A partir de cette année, toute la gamme aura un prise MIDI en standard.
Amiga 500 avec ECS,
Amiga 2000 68000 16 mhz ECS, connecteurs Zorro II.
Amiga 3000 avec 68020/68551/68881 à 16 mhz (sur carte fille), AGA (qui a un mode chunky en plus du mode 256 couleurs planar. Dual play field 256 couleurs (1 playfield planar et derrière un playfield chunky, chacun en 256 couleurs), mais palette de seulement 262144 couleurs. Zorro III, 2MO (1 mega de chip/1 méga de fast), mais configurable en 2 MO de chip. Support pour 8 MO de fast. DSP AT&T 3210 en standard (comme le 3000+ prévu en 1991). Controleur SCSI et disque dur en standard, ainsi qu’une carte réseau. Peut être un scan doubleur en standard. Ou alors un écran multisynchro fourni avec la configuration.
1989 (rentrée) :
Amiga OS 3.0 RTG/RTA
Amiga 700 : (boitier identique au 500). AGA et 68EC020 à 14 mhz (une seule puce regroupant l’ensemble), 2 MO, lecteur de disquette HD, controleur disque dur IDE en standard (avec emplacement disque dur 3.5″ sous le lecteur de disquette), emplacement pour carte extension DSP 3210 (sous le clavier), ainsi que que deux support pour 4 MO maxi. Connecteur d’extension sur le coté (compatible 500 pour récupérer un éventuel disque dur externe)
Amiga 2500 : AGA (la même puce que le 700, mais avec le 68EC020 désactivé). 68EC030 à 20 mhz (2MO chip 1 MO de fast) extensible à 8 MO, disque dur IDE en standard, DSP 3210, Zorro III, emplacement pour un 68881.
Amiga 3000 : la carte fille est remplacé par une carte 68030/68882 25 mhz. L’AGA est celui du 700 (68EC020 désactivé).
1990 (été) :
Amiga OS 3.2
Amiga 4000 : AA+ (compatible AGA); palette 24 bit, son 8 voies 16 bits + 8 voies DSP 3210. 4 MO de chip et 1 MO de fast , carte fille 68040 25 mhz (avec mémoire cache), disque dur, controleur SCSI II. Les informations sur le AA+ sont limitées de façon que les logiciels n’utilisent que l’OS pour l’affichage. Il est annoncé que le AA+ sera le dernier chipset conçu pour les processeurs 68K.
Toute la gamme est équipé en standard d’un disque dur.
1991/1992
Sur toute la gamme AGA apparaissent des cartes 68040 (EC/LC et 040 complet). La carte EC pour le 700, LC pour le 2500 et complet pour le 3000.
1993
RISC3D. AmigaOS 4.0 avec support du multiprocesseur (SMP), ressource tracking, protection mémoire, couche réseau et internet en standard.
Un partenariat avec HP est annoncé pour l’évolution du PA RISC, ainsi que le support de tous les périphérique HP qui auront en standards des pilotes optimisés Amiga.
L’Amiga passe à la 3D. Le PA7150 est le processeur de base avec Hombre comme chipset.
Amiga 1300 : Hombre avec AGA/68EC020 (ce 68EC020 peut être activé ou alors utiliser une émulation 68K JIT avec le PA7150). Le DSP évolue avec une version plus puissante du 3210.
Amiga 3100 : Hombre et AGA, slot PCI, emplacement pour un second PA7150, DSP
Amiga 4100 : Hombre et AA+ et 68060 (plus rapide que le JIT), PCI et Zorro III, DSP
Amiga 5000 : Hombre, un deuxième PA7150, AA+, 68060, PCI, Zorro III, DSP. C’est le premier ordinateur bi processeur « grand public ».
Dans les années suivantes, l’Amiga évolue jusqu’à nos jours en conservant le PA RISC, qui s’améliorera continuellement et offrira des performances au moins de 2 à 5 ans en avance niveau performance par rapport au X86. De même pour le chipset 3D.
La volonté est que l’Amiga soit toujours en avance sur son temps et que la majorité des premières, sinon toutes les premières technologiques informatiques soient sur Amiga. Le budget recherche ne fait qu’augmenter d’année en année.
Perso, l’Amiga aurait fini comme tout le monde…en PC.
Le chipset AAA, intégrant la (enfin…une) compatibilité NT4 aurait marqué la première étape. Il aurait surtout trouvé sa place dans le milieu de la production vidéo, en tant que machine « spécialisée » à la façon d’un SUN ou SGI, puis petit à petit l’architecture (larguée du PPC) aurait laissé sa place à du x86 et la marque aurait finie rachetée par un HP ou autre chinoiserie quelconque.
Finalement, c’est bien que l’Amiga soit mort avec Commodore, mort trop jeune. Le James Dean de la micro !
Amiga forever (et FuC=K PC ! )REWIND the Amiga
http://amigavideo.netQuelques points qui auraient pu changer le destin de l’amiga :
_ compatibilité commodore 64
_ lire le format de fichier msdos, atari et mac dés sa sortie
_ un hardware ouvert avec des amiga compatibles de marques concurentes
_ un système de licence pour que le workbench soit installable partout
_ payer microsoft pour son basic, pour avoir la suite office ensuite.
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