les chances de l’amiga
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@Henes: t’as raison… c’est naze ces stats en fait: ya pas le MO5: n’importe quoi !
Plus sérieusement, s’ils ont oublié (volontairement ou non) des machines, je suppose que le chiffre de environ 1 million d’Amiga vendus en 1991 doit être un peu près juste…
=> Après un rapide calcul ca représente dans les 2740 Amiga vendus CHAQUE JOUR !!
Si on cumule peg+aone depuis deux ans on doit même pas arriver à ce qui se vendait en un jour en 1991… snif ;(
@+,
Léo – qui vient de ramasser une grosse claque en faisant une division sur sa calculette ;(
Essayes de faire tourner les jeux PC de la même époque sur un PC récent …
Je t’arrête tout de suite: t’as plus de chance de faire tourner un jeu pc de l’époque sur un pc de maintenant qu’un jeu Amiga de l’époque sur OS4/MOS (sans passer par uae biensur)… Et que ce soit sur DOS directement ou sous XP via l’émulation intégrée: je parle pas des émuls genre DOSBox,…
@+,
Léo.
J’ajoute mon petit grain de sel.
Tout d’abord, je tiens à préciser que j’ai un point de vue « extérieur », en effet, je n’ai jamais possédé d’Amiga sous quelque forme que ce soit, mais comme je m’intéresse à tout ce qui peut être alternatif en informatique…
Donc, la question est de savoir comment l’Amiga peut se faire une place au soleil. Devenir une plate-forme informatique viable et pérenne, dans un monde sous la domination de l’ogre de Redmond. Je pense que 2-3 trucs peuvent aider.
– S’affranchir de l’Amiga classic. C’est paradoxal, mais 10 ans après, on ne relance plus l’Amiga, on lance une nouvelle plate-forme informatique. Ça n’empêche pas de garder une compatibilité, hein. Mais pas la peine de se référer à l’Amiga de l’époque Commodore, la plupart des gens s’en souviennent comme d’une console de jeux, et les plus jeunes ne savent même pas que ça a existé. Quant aux anciens amigaïstes, ils s’y retrouveront malgré tout.
– Trouver un (ou plusieurs) marché(s) de niche dans lequel l’Amiga sera le meilleur, la référence, avec des softs spécifiques, uniques. Mine de rien, c’est comme ça qu’Apple survit (PAO – moins qu’avant- musique, vidéo).
– Adopter certains logiciels standards, histoire de rassurer le chaland (en profiter pour combler le manque logiciel dont certains parlent plus haut).
– Mettre fin à la guéguerre AOne/AOS4 vs. Peg/MorphOS, soit par fusion des projets (illusoire ?) soit par un divorce clair et précis des 2 mondes (chacun suit sa route, et l’un des deux renonce à être le « nouvel Amiga »), soit par la mort de l’une des deux solutions (malheureusement le plus probable).
– Enfin, et surtout, condition sine qua none à la réalisation des points ci-dessus… Il faut des moyens, du flouez, des pèpette, du pognon… Bref un investisseur, un gros, comme le fut Commodore dans les années 80.
Hélas, ou trouver cette perle rare ? Qui voudrait investir dans une nouvelle plate-forme alors que l’industrie informatique semble devenue un modèle de conservatisme et d’immobilisme ?
Voilà, c’était ma contribution à 30 centimes d’euro.
derniere solution cessez de rêver naïvement d’une place au soleil, ou d’un hypothétique retour sur le devant de la scéne, s’amusez sur nos pegasos et Aone qui ont tout plein de defauts mais aussi tout plein de qualité.
soutenir nos revendeur, programmeurs du mieux que l’on peut pour que notre micro-monde continue d’evoluer envers et malgrés tout.
séparer les deux communautés au plus vite pour garder un minimum de bonne ambiance…
les gens dans la phase de choix suivront alors la solutions la plus representative en terme de nbrs d’utilisateurs ce qui n’est pas pour me deplaire…
a+
Super l’avatar, bravo !
1000% du même avis que Sas :
Arrêter de ce plaindre parceque le Pegasos est imparfait.
En profiter et réaliser qu’on aurait tué il y a quelques années pour avoir une nouvelle machine comme celle-là.
Comprendre que son existence relève vraiment du miracle et que tout peut diparaitre du jour au lendemain.
Soutenir, chacun avec ses moyens, la machine et aider les autres utilisateurs.
Serrer les fesses pour ne pas tous se retrouver sur Mac ou Pc d’ici 5 ans.
Je voudrais dire à tous ceux qui n’ont pas encore osé se lancer la chose suivante :
Si vous êtes un utilisateur du type gros 68K+DD+AGA, considérez pour l’instant l’achat d’un Pegasos comme une machine complémentaire.
Si vous êtes un utilisateur du type PPC+cybergraphics, vous pouvez même ne garder que le Peg. Il y aura biensûr quelques pertes, mais tous les goulots d’étranglement sur les applis auxquelles vous avez goûté grâce au PPC vont sauter, et vous pourrez en profiter pleinement : émulation, Mp3, DivX, retouche photo, jeux relativement récents, etc…
PowerMac - G5 2.0 GHz - 1.7 Go RAM - Radeon 9600P 128 Mo - MorphOs 3.13 et Peg2 - G4 RIP
Mac mini - G4 1.42 GHz - 1 Go RAM - Radeon 9200 32 Mo - MorphOs 3.9
WinUAE sur HP Core2 Quad 8200
Epave de Mist FPGA remplacé par un Sidi
A1200 malade 😉 et A500 512+512Ko RAM Kickstart 1.3Moof : Salut ! Voila qui fait du bien de lire autre chose que des souvenirs nostalgiques dans un thread dédié au futur de l’Amiga … Le terme de « place au soleil » ne plait pas au pessimisme de Sas mais je crois que si on retient que cette « place au soleil » c’est une situation un peu meilleure, avec un marché minimaliste viable, tout le monde s’y retrouve.
– S’affranchir de l’Amiga classic : Oui ! On se rend compte que cette étape n’est difficile que pour ceux qui ne l’ont pas franchie !
– Trouver un (ou plusieurs) marché(s) de niche : Là, ça tient plus du rêve. Si on arrive à combler les lacunes majeures pour faire globalement tout ce qui est possible sur les autres plate-formes, alors on aura déjà gagné. Vu qu’aujourd’hui, on fait la même chose sur n’importe quel OS. Donc ce qu’il nous faut, c’est pouvoir faire les mêmes choses mais avec un style et une réactivité différents, qui nous soient propres.
– Adopter certains logiciels standards : J’en reparlais avec Sara ce week-end. Je me disais à propos de Mozilla : « Si on arrive à le porter, n’est-ce pas fermer la porte aux navigateurs Amiga et réduire encore le marché de nos logiciels ? ». Dans un sens, oui, mais finalement, vus que nos navigateurs ne sont pas à la hauteur, il nous faut un tenor sans quoi on ne peut attirer de nouvelles personnes vu que l’utilisation lambda d’un ordinateur aujourd’hui, c’est le mail, le web, la lecture audio et video.
– Mettre fin à la guéguerre AOne/AOS4 vs. Peg/MorphOS : Tu as une vision extérieure mais tu me sembles avoir bien observé ce qui se passe ! Ceux qui mènent cette guerre se font le plus entendre car ça les nourrit mais beaucoup de monde s’accomode très bien que d’autres possèdent une machine différente de la sienne. Quant aux développements, de nombreux logiciels sont et seront disponibles pour les deux machines. Et de toute façon, l’existance de ces deux alternatives permet de contenter un plus grand nombre. Question de goût.
– Il faut des moyens, du flouez, des pèpette, du pognon : Ca aiderait beaucoup en effet mais encore faudrait-il en faire bon usage. Plein d’actions peuvent être faites sans cet argent, ou avec des moyens modestes, des actions individuelles ou de groupes qui auraient un impact réel et positif pour la communauté.
Moof : Quand est-ce que tu nous rejoins ? Tu me sembles sympathique et intelligent. Tu ne voudrais pas acquérir une nouvelle machine Amiga PPC ? Réserve ton week-end du 24-25-26 septembre pour descendre à l’Alchimie à Valence : une occasion unique de voir ce que les machines et les utilisateurs ont dans le ventre. A toi de voir si tu souhaites t’embarquer dans l’aventure.
pessimiste ? non je me satisfait pleinement de ce qui s’offre à moi, et prend plaisir à utiliser l’ordinateur et l’OS que j’ai attendu pendant 10 ans
Si vous voulez rêver libre à vous, on vit une epoque formidable qu’on regretera sans doute, enfin encore faudrait il s’en apercevoir
/me epicurien :p
– S’affranchir de l’Amiga classic : Oui ! On se rend compte que cette étape n’est difficile que pour ceux qui ne l’ont pas franchie !
Lapalisse quant tu nous tiens.
– Adopter certains logiciels standards : J’en reparlais avec Sara ce week-end. Je me disais à propos de Mozilla : « Si on arrive à le porter, n’est-ce pas fermer la porte aux navigateurs Amiga et réduire encore le marché de nos logiciels ? ». Dans un sens, oui, mais finalement, vus que nos navigateurs ne sont pas à la hauteur, il nous faut un tenor sans quoi on ne peut attirer de nouvelles personnes vu que l’utilisation lambda d’un ordinateur aujourd’hui, c’est le mail, le web, la lecture audio et video.
Oui, sans parler des gens qui s’apercevraient que l’amiga existe encore juste parce que le nom serait cité dans la liste des versions disponibles.
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