Commodore et ses erreurs sur l'Amiga

11 sujets de 16 à 26 (sur un total de 26)

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  • Amitoo

      #288545

      Si seulement ils avaient simplement repompé les pubs Mac :

      A500+ / A1200 / CD32 et... Jaguar

      Alexandre JALON

        #288551

        Dans tous les cas, quelques soient les « défauts » de conception de l’Amiga, cet ordinateur restera, aujourd’hui encore et pour moi, le meilleur ordinateur jamais conçu :).

        Alors, certes, les Pc d’aujourd’hui sont bien plus puissants et tout et tout, mais il manque ce vrai côté geek et passionné qui transpirait par tous les pores de l’Amiga…

        Et ce qui m’attriste le plus, c’est quand je pense à ce qu’aurait pu être cette machine si Commodore avait continuer à la développer correctement…

        babsimov

          #288561

          Dans tous les cas, quelques soient les « défauts » de conception de l’Amiga, cet ordinateur restera, aujourd’hui encore et pour moi, le meilleur ordinateur jamais conçu :). Alors, certes, les Pc d’aujourd’hui sont bien plus puissants et tout et tout, mais il manque ce vrai côté geek et passionné qui transpirait par tous les pores de l’Amiga… Et ce qui m’attriste le plus, c’est quand je pense à ce qu’aurait pu être cette machine si Commodore avait continuer à la développer correctement…

          Je suis d’accord sur tous les points, l’Amiga était une machine faites pour des passionnés, par des passionnés.

          Les ingénieurs de Commodore (ceux qui n’étaient pas dans l’équipe d’origine) avaient eux aussi bien compris cela je pense et avaient une bonne idée de la façon dont l’Amiga devait évoluer.

          Mais la direction a tout fait pour ne pas les laisser sortir les machines qu’ils voulaient.

           

          Slater79

            #288592

            Les ingénieurs de Commodore (ceux qui n’étaient pas dans l’équipe d’origine) avaient eux aussi bien compris cela je pense et avaient une bonne idée de la façon dont l’Amiga devait évoluer.

            Sauf que l’Amiga n’était qu’une branche, l’équipe d’origine des ingénieurs de Commodore a fabriqué un prototype du Commodore 65 en 90-91, alors que l’Amiga était déjà bien implanté. Commodore avec l’Amiga a eu le cul entre deux chaises en fabricant des compatibles PC, il a voulu se diversifier, on sait comment ça s’est terminé avec le rouleau compresseur Intel/Microsoft au cœur des PC assemblés no name moins chers. Commodore a perdu sur toute la ligne, il a envoyé l’Amiga droit dans le mur.

            darky

              #288628

              Je ne pense pas qu’il y ait à regretter les choix qui ont été fait à l’époque.
              Je n’imagine pas du tout une place pour l’Amiga à notre époque. Le Mac est une anomalie qui pourrait bien disparaître assez vite.
              Même le PC/Windows est sur le déclin.
              À mon avis l’Amiga était le dernier de la grande série des machines incompatibles entre-elles des années 80. C’est la meilleur machine de ce groupe pour moi.
              Souvenez-vous qu’à cette époque il fallait choisir son ordinateur avec soin, la logithèque et les softs que pouvaient refiler les copains en dépendait (j’ai commencé par un ST pour cette raison).
              Les deux grand finalistes de cette époque ont finis quasiment en même temps, je pense pour les mêmes raisons.
              Amstrad aussi, un peu avant.

              Amitoo

                #288638

                Ouai, enfin en attendant on s’est bien fait chxxx avec le DOS et les premières versions de Windows. Et je parle dans la vie de tous les jours, c’est à dire au taf. C’est du bien concret.

                A500+ / A1200 / CD32 et... Jaguar

                Slater79

                  #288645

                  Ouai, enfin en attendant on s’est bien fait chxxx avec le DOS et les premières versions de Windows. Et je parle dans la vie de tous les jours, c’est à dire au taf. C’est du bien concret.

                  Les écrans bleus de plantage de Windows 95/98, c’était monnaie courante à l’époque, c’est à partir de Windows 2000 que ça c’est amélioré.

                  Amitoo

                    #288652

                    Les écrans bleus de plantage de Windows 95/98, c’était monnaie courante à l’époque, c’est à partir de Windows 2000 que ça c’est amélioré.

                    Et même si aujourd’hui les plantages de Windows (7) sont rares (quoique mes collègues ont des portables tout récent qui font régulièrement un écran bleu, mais je soupçonne un prblm matériel sur ces ordinateurs), que fait cette saleté de Windows quand il met 3 plombes à répondre ??? Au boulot j’ai un Xeon 8 coeurs physiques, les procs ne sont pas occupés, le disque dur ne tourne pas et il y a plusieurs gigas de libre, tu cliques sur un truc et là… rien où alors « cette tâche ne répond pas » et tu dois attendre 4 ou 5 secondes. C’est un truc de malade.

                    Mais bon, un système qui ne consommait que quelques Ko et hyper réactif, tu penses bien que ce n’est pas viable pour faire vendre des tonnes de mémoire et du matériel qui doit toujours être plus puissant.

                    A500+ / A1200 / CD32 et... Jaguar

                    babsimov

                      #288669

                      Les ingénieurs de Commodore (ceux qui n’étaient pas dans l’équipe d’origine) avaient eux aussi bien compris cela je pense et avaient une bonne idée de la façon dont l’Amiga devait évoluer.

                      Sauf que l’Amiga n’était qu’une branche, l’équipe d’origine des ingénieurs de Commodore a fabriqué un prototype du Commodore 65 en 90-91, alors que l’Amiga était déjà bien implanté. Commodore avec l’Amiga a eu le cul entre deux chaises en fabricant des compatibles PC, il a voulu se diversifier, on sait comment ça s’est terminé avec le rouleau compresseur Intel/Microsoft au cœur des PC assemblés no name moins chers. Commodore a perdu sur toute la ligne, il a envoyé l’Amiga droit dans le mur.

                      De ce que j’ai compris en regardant un peu sur internet, le C65 a surtout été lancé parce que la direction ne savait pas trop quoi faire. Le C64 était la machine Commodore que se vendait le mieux et la direction pensait qu’en faisant une version 16 bit en 1990 ça se vendrait aussi bien. C’était donc une erreur de gaspiller du temps et de l’argent la dessus, puisque le prix aurait été celui d’un Amiga 500 avec des capacité moindres au final.

                      La gamme PC, une autre erreur de la direction qui aurait du tout concentrer sur l’Amiga dès le départ, comme Apple avec le MAC.

                       

                      Les écrans bleus de plantage de Windows 95/98, c’était monnaie courante à l’époque, c’est à partir de Windows 2000 que ça c’est amélioré.

                      Et même si aujourd’hui les plantages de Windows (7) sont rares (quoique mes collègues ont des portables tout récent qui font régulièrement un écran bleu, mais je soupçonne un prblm matériel sur ces ordinateurs), que fait cette saleté de Windows quand il met 3 plombes à répondre ??? Au boulot j’ai un Xeon 8 coeurs physiques, les procs ne sont pas occupés, le disque dur ne tourne pas et il y a plusieurs gigas de libre, tu cliques sur un truc et là… rien où alors « cette tâche ne répond pas » et tu dois attendre 4 ou 5 secondes. C’est un truc de malade. Mais bon, un système qui ne consommait que quelques Ko et hyper réactif, tu penses bien que ce n’est pas viable pour faire vendre des tonnes de mémoire et du matériel qui doit toujours être plus puissant.

                      Je suis d’accord, parfois on se demande bien pourquoi c’est nettement moins réactif avec un I7 à plusieurs Ghz qu’avec un 680×0 à quelques Mhz…

                       

                       

                       

                       

                      TorajaBoy

                        #288746

                        Bon il y a des erreurs de la part de l’équipe original de Amiga et surtout de la part du marketing de Commodore.

                        Pour l’équipe de Jay Mayner, l’AmigaOS devait être sous traité selon un cahier des charges et sous la direction de Software Team Leader. J’ai oublié le nom de cette société mais quand cette dernière a apris que le petite Startup Amiga avait été racheté par Commodore (la société qui a vendu plus de 80 000 de C64 l’ordinateur le plus vendu au monde). Bien leur devis pour le dev a explosé! Du coup Amiga a dût dévolopper AmigaOS seul et avec un délai plus serré. Donc ils se sont basé sur TripOS pour faire l’ébauche de l’AmigaOS tout en développant  la Rom kickstart qui se charge sur disquette sur A1000.

                        Disposant de l’argent de Commodore, Amiga pouvait se payer plusieurs station de travail assez puissante pour faire tourner une émulation des customs chips pour développer le premier AOS.

                        Mais ils ont manqué de temps et de ressources, les bons programmeurs prêt a travailler sur du matériel peu conventionnel dans le sens innovateur. Cela ne se trouve pas facilement et d’ailleur les premiers jeux sur Amiga étaient un simple portage du ST, il a fallût plusieurs mois avant que les programmeurs découvre le vrai potentiel de l’Amiga.

                        Un des point faible de l’AmigaOS était son système de fichiet. Ce qui est très génant pour un OS.

                        Tout n’était pas mauvais chez Commodore, le CATS était génial. C’était un service qui s’occupait d’offrir du support au développeurs software et au fabricant de périphérique tiers. Et ce service était très performant (ce n’est pas pour rien qu’il y avait des A2000 à la Nasa car accès complet à la documentation hardware et également au software. IBM avec ses PC sous DOS était incapable de faire le job. Apple et Steve Job refusait l’accès aux infos. Mais Amiga oui, donc la Nasa a fabriqué ses propre cartes d’acquisition de données en plusieurs cannaux (je ne sais pas si c’était de l’acquisition en digital ou en annalogique  en 4/20 mA probablement la seconde vu l’époque). Les Amigas à la Nasa servait à la télémétrie pour les fusée c.à.d acquisition d’une multitude de données provenant d’un paquet de capteur et retransmition en temps réel de ce valeur vers d’autre système informatique).

                        Houston, we have a problem! Ce foutu système de fichier peu robuste.

                        Après la disparition de l’équipe original de l’Amiga de Los Gatos. Commodore prit contact avec RJ Mical pour écrire un nouveau système de fichier pour l’Amiga et il refusat. Mais RJ Mical a des regrets encore aujourd’hui sur son refût.

                        Le marketing chez Commodore et les décisions du conseil d’administration a toujours posé des problème.

                        Bon à part Rattigan que venait de chez PePsi Co. Commodore faisait de lourdes pertes. Rattigan a stopper l’hémoragie avec des coupes budgétaire, licenciement de personnel, arrêt de R&D de prototypes sans avenir, éliminer les doublons, concentration sur les divisions bénéficiaires. Il a réussit en deux ans à transformer Commodore en un société endettée en un société légèrement bénéficiaire. Et comme remerciement il a été licencier abusivement. Il a fait un procès à Commodore qui dura huit années et gagnât 8 M$. C’est cela le non sens de Commodore mais cela s’est passé bien après le lancement du A1000.

                        Si le lancement du A1000 au Lincoln Center était incroyable, la suite n’était pas du tout au niveau. Le problème publicité télévisé de l’Amiga A1000 était incompréhensible, un vieux monte des escaliers pour se trouver devant un A1000 surmonté d’un écran sur lequel apparaît l’image d’un foetus humain et puis une lumière aveuglante illumine l’écran comme si Dieu ou l’Amiga créa la lumière et l’homme sur terre?

                        WTF? Les publicitaire se sont inspiré de l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick.. Euu il faut redescendre sur terre les gars, c’est un ordinateur, les gens veulent voir ce que on peut faire dessus que on arrive pas a faire avec un PC ou  un Apple. Les français ont eu droit aussi a des pub bien pourrie…

                        Commodore avait du mal a convaincre les gros éditeurs a porter leur logiciel sur Amiga. La raison une machine mal positionnée. Trop cher pour le marcher familliale et trop bon marcher pour le marcher pro rt surtout manquant de logiciel bureautique des grand éditeurs. Un moniteur 15khz, pas de disque dur en option, un OS au couleurs douteuse… Bon les gros éditeur, on dit à Commodore vendez vos Amiga et on vera après. L’A1000 se vendait très mal et a subit plusieur réduction de prix mais jamais les ventes ne décolère.

                        Commodore pensait qu’il était impossible de booter sur un disque dur sur un A1000 et qu’il faudrai tjs booter à partir d’une disquette.

                        Lorqu’un fabricant tier y parvenu Commodore achetat plusieurs disque pour faire du reverse engineering … Comment ils ont fait.

                        Cela faisait plus de deux ans que le A1000 ne se vendait pas bien. Jay A voulut une machine avec 512ko de mémoire vive en disant que les prix vont baisser. 512ko était le minimum de memoire pour Jay, Atari a lancer ses primiers Atari ST260 avec 256ko de ram. En plus de deux ans le monde de l’informatique change et les spécifications technique de notre bon A1k sont moins sexy.

                        Alors Commodore demanda à son usine en Allemagne de fabriquer un ordinateur à base de l’Amiga. Les Allemand aimant les chose robuste ont placer une nouvelle carte mère dans un boitier style PC gris.

                        Juste un peu de temps avant l’équipe de Los Gatos travaillait sur le projet du remplacant de l’A1000. Mais ce projet fût refusé et Commodore préféra faire son développement en interne. Désabusé l’équipe originale de l’Amiga quittèrent Commodore et les bureaux de Los Gatos furent fermé. Voilà une économie de faite surtout que l’usine de Westchester PA, est moins cher au m2 que la Californie.

                        Mais ce n’est pas l’équipe Allemande qui apportera la solution. C’est l’équipe de Dave Haynie qui repris certaines idées du projet Allemand comme le genlock, le slot vidéo pour le slot CPU et les ports ZorroII, il conaissait déjà.

                        Commodore décida de créer deux machines différentes, une machine familliale pour remplacer le C64 et C128/C128D ce sera l’Amiga 500 tout dans une coque avec un modulateur pour le branché sur une TV.

                        Et une version pro qui sera facilement extensible via son port CPU et ses slots Zorro. On pouvait y mettre une carte A2090 (pas rapideeeee) puis plus tard un A2091 tant la 2090 était pas bonne. Enfin un disque dur.

                        La politique de Commodore a changer concernant les périphériques car, CBM s’apperçut que cela coutait trop cher en R&D donc ils encouragèrent d’autres constructeur  à fabriquer du matériel pour Amiga et d’ouvrir au maximum sa machine. Parfois Commodore fabriquat un carte SCSI rapide la 4091 puis demanda à DKB de la fabriquer et de la vendre. C’est pour cela que nous avons une plétore de cartes et options sur Amiga. Alors qu’IBM voulait cadenasser son PS/2 avec son bus propriétaire MicroChannel dont les cartes coûtais un rein. Apple reste Apple, je ne connais que les cartes Sonnet, les cartes graphique Apple sur des cartes PC classique avec un bios différent et des résistance cms placées différement pour protéger le marché des cartes Apple. Maintenant il doit y avoir un circuit logique programmable qui fait office de clef.

                        A500 fût un succès surtout en Europe (Angleterre et Allemagne).

                        David Pleasance responsable de Commodore UK s’avait vendre des ordinateurs (la preuve il réussit a vendre tout les Commodore C16Plus, une horrible machine avec un OS en ROM et des utilitaires de base en ROM du style traitement de texte et tableur, etc bien-sûr impossible de faire une mise à jour des logiciel embarqué. De plus pas compatible avec les programmes et jeux du C64! Bref une véritable merde, un suicide commerciale. David l’a fait et faut être fort. A chaques lot de 50 machines vendu une bouiteille de champagne offerte.

                        Euhhh moi si j’avais acheté cette bouse il me faudrai cinq bouteille pour oublier cet achat bonjour la geule de bois le lendemain devant cette horreur.

                        David créa des pack avec des éditeurs de Jeux ou utilitaire. Le plus connu étant le pack Batman avec le jeu de chez Ocean, il conclut que Ocean devrai attendre 4 mois avant de vendre son jeu en retail.

                        Juste avant les fêtes de fin d’années, Commodore UK écoulat 150 000 unité de ce pack créant une pénurie d’écran Amiga dans toute l’Europe.

                        Tiens voilà une autre belle connerie à la Commodore! Vu que les parents en avait marre de se faire scouaté leur TV par les progénitures, David exigat des écrans, Petro responsable de la logistique chez Commodore trouva des moniteurs en australie (pas la porte à côté), il les fît venir par Cargo aérien pourqu’il y avait urgence…  Mais cela coûta très cher et lorsque on branchat ses écrans sur A500 pas d’image. Pas un problème de standard PAL, ni de tension ou fréquence d’Alimentation. Mais un obscure problème de polarité électrique sur certains composants électronique. En fait ces écrans n’était pas compatible avec les signaux video du A500! Donc Commodore se trouve toujours sans écrans, avec un stock d’écran invendable et qui ont couté bonbon en frais d’expédition. Beins vous voyez ca c’est du management à la Commodore inéficace et qui coûte chère à la société.

                        Malheureusement voilà l’image de l’Amiga de Commodore dans le monde. Une superbe machine de jeux avec l’A500 en europe mais qui ne sera jamais prise au sérieux par le marcher professionnel et pourtant ont sait en faire des tas de choses avec ce petit ordinateur.

                        Une image aux état unis tout à fait différent, beaucoup plus pro avec ses A2000 surtout dans le domaine de la vidéo avec le VideoToaster de chez NewTek malheureusement toujours en NTSC, car un composant Philips n’existait qu’en Ntsc, Philips devait fabriquer une version Pal pour l’Europe. Mais ce ne fut pas le cas encore une occasion raté pour nous.

                        Puis vient l’âge d’or de Commodore avec les plus beaux Amiga selon moi le A3000D et A3000T. Machines pas pafaite mais un bon début promettant de nouveaux modèle plus performant encore!

                        Et bien non.

                        Changement de Management chez Commodore, avec Med Ali. Commodore est de nouveau dans le rouge… Mais pendant cette même époque alors que Commodore saigne des Managers comme Med Ali ou le PDG Irvin Gould se versent des Bonus plus élevé que Bill Gates ou Steve Job de chez Apple alors que le bateau coule…

                        Bon on va réduire les couts, à dieu le projet couteux on va faire du low cost. On decide de faire l’A300 qui deviendra l’A600, il s’agit d’un A500 avec un port interne IDE mais disque dur tjs en option, un port pcmcia du monde du pc potable et d’un port d’extension mémoire et pas de port d’extension pour une carte cpu! Après tout un 68k à 7.14 Mhz c’est suffisant pour jouer, une nouvelle version du kickstart pour gérer le pcmcia et l’ide. On zapppe le pavé numérique, pas besoin pour jouer. Et bien sûr composant montage surface parceque c’est moins cher. Bon sauf que la machine coûte plus cher a fabriquer qu’un A500 Plus que le A500Plus venait de sortir.

                        Alors Commodore concurence son propre A500Plus par son A600 qui coûte plus cher à fabriquer et qui est moins extensible… C’est une blague? Non. Moi je le trouve mignon le A600 pourtant c’est une machine maudite par les revendeurs Commodore et on comprends pourquoi. C’est le vilain petit canard un peu comme le CDTV qui est le seul « ordinateur » Commodore ne portant pas le logo Amiga.

                        David Haynie travaillait depuis des mois sur l’intégration d’un DSP de chez AT&T avec un architecture 68k. Faut dire que Paula se fait vieille est ne digitalise que en 8 bits, alors une nouvelle version de Paula avec 8 canaux en 16bits échantillonnage à 44.1Khz épaulé par un DSP pour faire du traitement numérique ou du calcul cà ca le fait.

                        Non au gardera le même Paula sur tout les Amiga depuis le 1000 jusque la CD32! Et pas de DSP.

                        Mais le travail de Haynie sur le DSP de AT&T ne se perda pas pour tout le monde Steve Job le repris pour son Apple GS avec DSP merci Commodore!

                        Bon on s’est planté avec le A600 on va pas foirer le 4000!

                        Bien si si… On n’as plus de sous alors on va faire des économie, c’est quoi cette carte mère qui prends la poussière sur cette armoire… Ahh ca c’est un vieux prototype. Ah tiens donc?

                        C’est une carte mère avec de l’AGA, de l’IDE pas rapide, un 6830 et sans flicker fixer… Cela ne fait pas pro, le A3000 est en ScSi et on peut mettre un contrôleur plus rapide, y’a pas de sortie 31Khz alors c’est pas bon pour les yeux, le bus mémoire est lent et On corrige tjs le Buster pour le zorro III. De plus Motorola va bientôt sortir le 68040.

                        Donc cela fait cheap gadget! Oui, mais je l’ai dans les mains maintenant? Ehh oui effectivement. Le coût de R&D est zéro?

                        Oui, monsieur…  On doit faire des économies mon grand.

                        Eu d’accord mais les clients risque de pas trop apprécier d’aller vers une technologie inférieur pour une machine pro?

                        Bon travail, voici le nouveau A4000! N’est-il pas magnifique? Vous êtes le boss m’sieur.

                        Bon je romance là mais il n’empêche que c’est ce que l’on nous a vendu.

                        Bon j’ai encore des trucs amusants sur la CD32, la faillite, la reprise d’Escom.

                        L’histoire du Message subliminale dans la ROM 2.04 qui coutât encore pleins de pognon à Commodore.

                        Pour terminer j’aimerai citer Galahad de FairLight, non ce n’est pas le piratage qui a tué l’Amiga. Mais l’impossibilité de Commodore de prendre en compte l’avis des développeur de jeux et de ses utilisateurs.

                        Avant que Commodore ne sorte le A1200, les société d’édition on fait des propositions sur l’introduction de nouveau composant qui permettrai de combattre la monté en puissance de jeux PC. Et il s’agissait d’éditeur majeur, qui vende beaucoup de jeux, qui connaisse bien la programation et aime l’Amiga.

                        Voilà le A1200 avec un 68020EC @ 14 Mhz, 2Mb de chip Ram, notre bonne veille Paula, ok l’AGA c’est mieux mais loin d’être révolutionnaire, le Cooper et Blitter hummm

                        Fin de citation.

                        Ce n’est pas la machine de guerre que l’on espérait et va falloir se battre contre de PC qui évolue tous les deux mois. C’est pas gagné surtout pour la 3D, il n’y a rien de prévu.

                        Alors croyez moi, c’est claire qu’il y a eu des problèmes partout, équipe Amiga originale, marketing mais surtout dans le management qui ne s’avait pas trop quoi faire de l’Amiga, comment et vers quoi le faire évoluer et avoir une stratégie de vente globale sinon cela devient vite le bordel. Et puis il ne faut pas oublier l’évolution du marcher informatique et de la concurence féroces du PC. On n’est plus au tant du C64 en 8bit où les concurent était Oric, Thompson, RS TRS80, MSX, BBC, Amstrad,…

                        Avec la démocratisation de la micro informatique et sa vulgarisation. Fini pour les vendeurs de nous raconter des conneries commerciales, il y avait la presse spécialisé et on comparais. Maintenant les gens achètent des ordinateurs comme un baguette de pain chez carouf. C’est  devenu un produit de consommation, on achète, on utilise et on jette.

                        Commodore n’a pas sû anticiper l’avenir de son 8 bit le C64 euhhh. Je sais ce que je dis mon premier Commodore était un C128D 6510 et Z80 et je l’ai tjs fonctionnel.

                        Commodore a eu la chance d’acheter l’Amiga, les autres ne voulaient que les customs chips. L’Amiga avait au moins quatre années d’avance technologique. Le A1000 n’as pas trouvé sa vrai place en deux ans.

                        Commodore a fait évoluer péniblement l’Amiga et n’as pas sû anticiper. La même bétise que pour la fin des machines 8 bits à la différence que Commodore avait de l’argent à l’époque pour racheter l’Amiga. Et à la fin de Commodore des millions de dollars de dette aux Banques. Triste pour l’Amiga, oui car cette machine méritait mieux mais de tous le repreneur Commodore était le moins mauvais et surtout le seul car jack Tramiel avec les 500 000$ d’Atari cela aurait été le holdup du siècle.

                        Et puis l’amiga Classic continue de vivre avec ses extension toujours en développement, puis les NG et deux mille utilisateurs qui continue de râler!

                        babsimov

                          #288774

                          Quelques petites précisions

                          Un des point faible de l’AmigaOS était son système de fichiet. Ce qui est très génant pour un OS.

                          Ce foutu système de fichier peu robuste. Après la disparition de l’équipe original de l’Amiga de Los Gatos. Commodore prit contact avec RJ Mical pour écrire un nouveau système de fichier pour l’Amiga et il refusat. Mais RJ Mical a des regrets encore aujourd’hui sur son refût.

                          En fait, RJ Mical travaillait toujours chez Commodore à l’époque. C’est lui qui a conseillé à Irving Gould de contacter Carl Sassenrath qui avait déjà quitté Commodore pour aller chez Apple. Mais Carl Sassenrath a refusé de revenir pour corriger le système de fichier (en fait créer le système de fichier qu’il voulait pour CAOS (l’AmigaOS prévu à l’origine). Il pensait que c’était déjà trop tard car l’Amiga était sur le marché (c’était à l’époque de l’Amiga 1000), vers 1986. Mais, il dit regretter d’avoir refusé à l’époque. Il n’avait pas réalisé que c’était encore le tout début de l’Amiga et qu’il aurait pu faire un système de fichier avec un mode compatibilité pour les quelques logiciels écrit pour le système de fichier existant.

                           

                          Bon à part Rattigan que venait de chez PePsi Co. Commodore faisait de lourdes pertes. Rattigan a stopper l’hémoragie avec des coupes budgétaire, licenciement de personnel, arrêt de R&D de prototypes sans avenir, éliminer les doublons, concentration sur les divisions bénéficiaires. Il a réussit en deux ans à transformer Commodore en un société endettée en un société légèrement bénéficiaire. Et comme remerciement il a été licencier abusivement. Il a fait un procès à Commodore qui dura huit années et gagnât 8 M$.

                          Je pensais pareil, mais bien que ses décisions de faire une gamme grand public et professionnelle pour l’Amiga soient positives, il semble bien en fait qu’il ait annoncé que Commodore faisait des bénéfices, mais que ce n’était pas vraiment le cas. Il aurait bidouillé les chiffres avec des prévisions non réalisées. Irving Gould, au premier abord, aurait pensé ses chiffres exacts, mais quelques temps après a découvert qu’il y avait bidouillage. Ce serait une des raisons qui ont fait que Rattigan a été éjecté (bien qu’effectivement au moment de son éjection, les bénéfices étaient là et bel et bien réels).

                          Alors Commodore demanda à son usine en Allemagne de fabriquer un ordinateur à base de l’Amiga. Les Allemand aimant les chose robuste ont placer une nouvelle carte mère dans un boitier style PC gris. Juste un peu de temps avant l’équipe de Los Gatos travaillait sur le projet du remplacant de l’A1000. Mais ce projet fût refusé et Commodore préféra faire son développement en interne. Désabusé l’équipe originale de l’Amiga quittèrent Commodore et les bureaux de Los Gatos furent fermé. Voilà une économie de faite surtout que l’usine de Westchester PA, est moins cher au m2 que la Californie. Mais ce n’est pas l’équipe Allemande qui apportera la solution. C’est l’équipe de Dave Haynie qui repris certaines idées du projet Allemand comme le genlock, le slot vidéo pour le slot CPU et les ports ZorroII, il conaissait déjà.

                          Il semble que le projet de successeur de l’Amiga (le 1000) prévu par l’équipe originale aurait été excessivement cher à produire et plus cher qu’un MAC à l’époque. Par contre il y aurait eu des slots Zorro, du SCSI, une MMU (propriétaire) et un 68010 et 2MO de VRAM (et donc un nouveau chipset).

                          Commodore avait déjà du mal à vendre l’Amiga d’origine, donc le choix de Commodore peut s’expliquer. Bien que je sois d’accord, il aurait fallu sortir quelque chose mieux que l’ECS et bien plus tôt.

                          En fait, l’équipe Amiga d’origine semblait avoir beaucoup de mal avec l’idée et la manière de produire une version « coût réduit » de l’Amiga. Ils voyaient le composant « GARY » pas si bien que ça, comme l’Amiga 500 d’ailleurs. Mais, plus tard, ils ont finalement reconnu que le 500 et le 2000 c’était probablement la meilleure chose qui soit arrivé à l’Amiga.

                          Puis vient l’âge d’or de Commodore avec les plus beaux Amiga selon moi le A3000D et A3000T. Machines pas pafaite mais un bon début promettant de nouveaux modèle plus performant encore!

                          Mis à part l’AmigaOS 2.0 (le 1.4 en fait, dont on parlait déjà en 1988, j’ai même souvenir qu’on parlait localisation du système, et oui la locale.library qu’on a eu en 1992 avec le 3.0 devait être dans le 1.4 de 88/89 !!!), bref, le 3000 a quand même été une déception avec l’ECS. J’ai relu, il y a quelques temps, des Amiganews de l’époque de son lancement. Et bien certains des chroniqueurs disent que bon l’AmigaOS c’est bien mais que bon pas de 256 couleurs en 1990… c’est pas terrible ! Et ils avaient raison. Je l’ai vu au SICOB à l’époque l’Amiga 3000 en première présentation en France. C’était hors de prix pour le particulier et l’ECS c’est vraiment pas ce que j’attendais techniquement. Surtout après avoir lu une interview de Jay Miner datant de 1988 et qui parlait du prochain chipset qu’il avait mis au point avant de partir, à base de VRAM…

                           David Haynie travaillait depuis des mois sur l’intégration d’un DSP de chez AT&T avec un architecture 68k. Faut dire que Paula se fait vieille est ne digitalise que en 8 bits, alors une nouvelle version de Paula avec 8 canaux en 16bits échantillonnage à 44.1Khz épaulé par un DSP pour faire du traitement numérique ou du calcul cà ca le fait. Non au gardera le même Paula sur tout les Amiga depuis le 1000 jusque la CD32! Et pas de DSP. Mais le travail de Haynie sur le DSP de AT&T ne se perda pas pour tout le monde Steve Job le repris pour son Apple GS avec DSP merci Commodore!

                          C’est dans le MAC quadra 840AV que sera intégré le DSP3210. C’est le seul modèle de la gamme a avoir ce DSP.

                          Mais, comme MacOS est monotache, on perd tout. Le DSP 3210 sur l’Amiga aurait fonctionné en multitâche avec l’AmigaOS, car ce DSP avait son propre OS multitâche (VCOS/VCAS). Et il ne fait que du son sur MAC. Alors que sur Amiga, il aurait pu faire du son, du calcul mathématique, du modem logiciel etc (et tout ce à quoi on ne pense pas mais que la communauté Amiga aurait réussi à faire avec, comme avec le chipset Amiga).

                          https://fr.wikipedia.org/wiki/Macintosh_Quadra_840AV

                          Pour des informations sur le DSP3210 et l’Amiga :

                          http://www.thule.no/haynie/

                          Avant que Commodore ne sorte le A1200, les société d’édition on fait des propositions sur l’introduction de nouveau composant qui permettrai de combattre la monté en puissance de jeux PC. Et il s’agissait d’éditeur majeur, qui vende beaucoup de jeux, qui connaisse bien la programation et aime l’Amiga.

                          Ce serait intéressant de savoir ce que ces éditeurs avaient suggérés niveau matériel ? Des précisions ?

                           Commodore a eu la chance d’acheter l’Amiga, les autres ne voulaient que les customs chips. L’Amiga avait au moins quatre années d’avance technologique. Le A1000 n’as pas trouvé sa vrai place en deux ans. Commodore a fait évoluer péniblement l’Amiga et n’as pas sû anticiper. La même bétise que pour la fin des machines 8 bits à la différence que Commodore avait de l’argent à l’époque pour racheter l’Amiga.

                          Il semble bien qu’à l’époque les ingénieurs de Commodore trouvaient que la société avait payé l’Amiga beaucoup trop cher (surtout que Commodore n’allait pas si bien que ça à l’époque déjà). Ils pensaient que pour la somme dépensée, ils auraient pu faire une machine au moins aussi bien, sinon mieux et en plus moins cher à produire.

                          Note que je trouve que l’Amiga est excellent et je ne suis pas sur que les ingénieurs de Commodore aurait pu faire cela, l’équipe de Jay Miner était vraiment une équipe de passionnés qui ont su trouver des solutions techniques toujours élégantes. Je ne suis pas persuadé qu’une autre équipe aurait réussi à avoir ce type d’alchimie.

                          Et à la fin de Commodore des millions de dollars de dette aux Banques. Triste pour l’Amiga, oui car cette machine méritait mieux mais de tous le repreneur Commodore était le moins mauvais et surtout le seul car jack Tramiel avec les 500 000$ d’Atari cela aurait été le holdup du siècle.

                          Jack Tramiel n’a rien à voir avec les 500 000 $ d’Atari. Cet accord datait d’avant. Quand il rachète Atari, il ignore totalement l’existence d’un contrat avec Amiga. Son premier travail a été de se séparer de tous les ingénieurs Atari qui travaillaient à sortir une machine de jeu à base des composant Amiga (mais qui n’avait pas tous les modes graphiques que Commodore permettra d’ajouter, une palette plus réduite etc…). Un an après la sortie de cette console, un ordinateur appelé Atari 1850XLD serait, éventuellement sortit.

                          http://obligement.free.fr/articles/atari1850xld.php

                          Quand Jack Tramiel apprendra qu’il a accepté le remboursement de Commodore pour l’Amiga, alors qu’il aurait pu l’avoir pour presque rien, il lancera un procès à Commodore. Ce dernier ripostera avec un procès aussi, parce que certains des ingénieurs du nouveau Atari venaient de Commodore et aurait « emporté » de la technologie Commodore et s’en servirait pour le futur nouvel ordinateur Atari (le ST). Le tout finira par un arrangement financier. Mais, pendant six mois l’équipe Amiga d’origine se voit interdir de travailler sur l’Amiga par Commodore à cause de cette procédure en cours.

                          Ces six mois sont plus ou moins la raison pour laquelle il ne sera pas possible de finaliser le CAOS prévu (en plus de l’anecdote cité au début sur le tarif revu à la hausse par le prestataire).

                          Autre précision, l’équipe d’origine d’Atari travaillait avant le contrat avec Amiga sur sa propre machine 68000 (voir même avec 2 68000) et un chipset nommé SIERRA qui aurait été bien meilleur que celui de l’Amiga, on parle de rumeurs de 256 couleurs. La puce son s’appelait AMY et aurait été capable de chanter un opéra avec une voix masculine et de passer, à la volée, à une voix féminine ! Celui qui l’avait conçu était un passionné de synthèse vocale.

                          https://en.wikipedia.org/wiki/Atari_AMY

                          https://en.wikipedia.org/wiki/Atari_Sierra

                          L’équipe du ST aurait essayé d’interfacer AMY pour le ST (pendant sa phase de mise au point). Mais, ils n’ont pas réussi (alors que ce composant était finalisé et prévu à l’origine pour s’interfacer à un 68000) !!! Résultat, ils ont décidé de mettre un YM pour avoir un son « basic » (ce sont les mots de Shiraz Shijvi) et de mettre une prise MIDI pour « compenser » et pour ceux qui voudront du son correct. Eh oui, le MIDI n’était pas du tout une caractéristique prévue dès le départ pour le ST, contrairement à ce que Shiraz Shiji dira plus tard. C’est du au fait qu’ils n’ont pas pu mettre AMY dans le ST.

                          Jack Tramiel a vendu la puce AMY a une société de synthétiseur, qui, non seulement a su le faire fonctionner, mais l’a amélioré. Mais, quand ils ont voulu sortir un synthétiseur basé dessus, il leur fait un procès. Résultat, la technologie sera totalement abandonnée par cette société. Je suppose que Jack Tramiel devait être bien dégoûté que ses ingénieurs lui aient laissé penser qu’il n’était pas possible d’utiliser AMY. Il appréciait d’être son propre fournisseur de composants pour ses ordinateurs et avoir un composant sonore interne à Atari dans le ST, je pense qu’il aurait apprécier pour encore réduire les coûts de production. Désolé pour la parenthèse sur AMY, mais c’est dommage qu’on ait pas pu savoir ce que ça aurait donné.

                           

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