Big up pour GENESI !!!
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Voilà ce que j’ai décidé…
Je lui dois une réponse à un mail lundi. Je trouverai saugrenu de couper court à notre échange de façon brutale sans motif personnel valable, mais fort de ce que vous m’avez révélé et compte-tenu de ce que j’ai découvert d’effectivement pas joli-joli dans les liens qui m’ont été suggérés, je compte bien m’entretenir avec franchise avec lui de certaines choses.
Je verrai bien ce que ça donne : s’il passe en defcon 2 et me répond de façon péremptoire et insultante, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent. Il se peut aussi qu’il ne le fasse pas mais ait au contraire son mot à dire sur la question, et je serai intéressé d’avoir sa vision des faits (partiale ou pas, on verra). En gros, je vais lui laisser sa chance, au nom de la qualité de ma relation personnelle avec lui, mais je vais provoquer une réaction qui y mettra peut-être un terme… ou pas.
mahen a écrit :
J’avoue avoir un peu de mal à dissocier le service / les produits, et les individus / leur éthique / leurs entourloupes. À chacun de voir.
C’est une grande question philosophique et morale, elle s’est posée de façon récurrente au cours de l’Histoire, parfois de façon douloureuse et lourde de conséquence. Dans quelle mesure peut-on comprendre, pardonner les méfaits d’une personne (si on est chrétien le pardon est un concept fondamental) ? Est-on soit-même exempt de tout reproche pour pouvoir juger des méfaits des autres (« que celui qui n’a jamais péché me jette la première pierre… ») ? Quel dirigeant d’entreprise d’un peu d’envergure a réussi à rester « pur » et peut encore se regarder dans une glace ? Un criminel qui sort de prison et aide une personne âgée à traverser la rue demeure-t-il un gibier de potence ou sa bonne action mérite-t-elle d’être prise en considération ? Personnellement, je n’ai pas la prétention d’avoir un embryon de réponse à ces questions d’éthique morale qui titillent les relations humaines depuis que l’humanité existe…
iwastheone a écrit :
Voilà ce que j’ai décidé…
Je lui dois une réponse à un mail lundi. Je trouverai saugrenu de couper court à notre échange de façon brutale sans motif personnel valable, mais fort de ce que vous m’avez révélé et compte-tenu de ce que j’ai découvert d’effectivement pas joli-joli dans les liens qui m’ont été suggérés, je compte bien m’entretenir avec franchise avec lui de certaines choses.
Je verrai bien ce que ça donne : s’il passe en defcon 2 et me répond de façon péremptoire et insultante, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent. Il se peut aussi qu’il ne le fasse pas mais ait au contraire son mot à dire sur la question, et je serai intéressé d’avoir sa vision des faits (partiale ou pas, on verra). En gros, je vais lui laisser sa chance, au nom de la qualité de ma relation personnelle avec lui, mais je vais provoquer une réaction qui y mettra peut-être un terme… ou pas.
Chacun d’entre nous est libre de faire ce qu’il veut. Saches que Bill Buck à été décoré par Jacques Chirac lui même avec une médaille de je ne sais pas quoi. En ce qu iconcerne l’affaire d’Aire France, il me semble que Bill Buck et son équipe on servi de source d’informations et d’aide à démenteler une histoire de térrorisme. Dans ces circonstances, s’il pend le temps de se justifier au prêt d’une personne qu’il ne connait même pas, tu n’auras rien de plus qu’une version des faits de type « exemplaire, héroïque ».
Finalement, tout est toujours qu’une question de point de vue
Tentez d’imaginer à quoi ressembleraient nos livres d’histoire si ceux-ci était écrits par les peuples qui ont perdu les guerres au lieu de ceux qui les ont gagnées!
RyZen Rulez 😉
Heu… dans l’affaire d’Air France, BBRV ont surtout employé (au black…) des types louches pour les placer comme surveillants dans les avions via leur société Pretory de soustraitance en sécurité (après le 11 Septembre). C’est clair, ça a démontré des trous de sécurité dans le système ça
Une « relation personnelle » avec BBRV ?? Il n’y a jamais de relation personnelle dans le business !
serge a écrit :
Saches que Bill Buck à été décoré par Jacques Chirac lui même avec une médaille de je ne sais pas quoi.
Pas directement par Chirac mais par son ministre des Affaires étrangères de l’époque, Michel BARNIER. Il s’agissait de la médaille de chevalier de l’ordre national du mérite.
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