Aone ou PEGASOS
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Zim: Alors heu… Le boot a chaud il faut etre honnete c’est du bricolage. Avec le temps ils ont réussit à l’améliorer encore et encore mais à ce jour il reste des cas où il peut ne pas fonctionner, justement en cas de plantage « grave » d’un truc.
Globalement chez moi je te dirais qu’il marche 9 fois sur 10, mais si tu me dis que chez toi ça marchera 2 fois sur 10 je te croirais totalement, ça dépend aussi du hard que y’a dans la machine.
Sinon pour ce que Elwood dit c’est relativement vrai. Moi depuis que j’ai mis le run >NIL: devant le lancement des net interface, je suis embeté et obligé de mettre des wait devant des softs comme WET par exemple.
Ouais bon au besoin ya toujours moyen de faire un script qui contienne
C:addNetInterface DEVS:NetInterfaces/toto
et d’ajouter derrière la commande de démarrage de l’application désirée, si toutefois la pile s’est lançée correctement.
Tiens si on voulais faire un bouton on/off, je sais qu’il serait facile de mettre la commande sus-décrite pour lançer la pile.
Mais comment récupérer dans la foulée le numéro de process pour que, lorsqu’on clique une deuxième fois, le script fasse un « break x » pour désactiver la pile ?
Si on l’exécute en faisant MaVariable = C:addNetInterface …. , est-ce que MaVariable contiendra le n° de process ?
Ha oui au fait, je me suis fait des petits scripts avec SMBFS pour monter mes lecteurs réseau sur le workbench et ça marche nickel (avec un petit disk.info qui va bien à la racine pour faire joli).
Mais j’aimerais de la même manière pouvoir les interrompre automatiquement sans avoir besoin de démarrer un shell pour connaître leur numéro de process.
Tom:
Alors,
break `status com=
` si tu connais au moins le nom du processus. Sinon, tu rediriges le run dans un fichier, pour avoir le n° de process, et à coup de rexx, tu parses le ‘[CLI n°]’ pour récupérer le numéro, que tu breakes ensuite à ta guise.
ce qui donne un script du genre :
run >t:blah machin dans la startup
puis le script rexx qui breake
/* */
if open(f, ‘t:blah’, ‘r’) then do
line = readln(f)
parse var line ‘[CLI ‘process’]’
address command ‘break ‘process
close(f)
end
wet c’est un soft de meteo non ? il a pas de raison de refuser de se
lancer si tu n’es pas connecté, la logique voudrais qu’il affiche un
truc du genre « n/a » a la place du logo du temps du jour et qu’il
reessaye plus tard soit avec un delai de retry(jusqu’a obtention d’un
resultat) ou un signal « online » emis par la bsdsocket.library
imaginons qu’il y ai un support freedb/cddb inclus dans le truc qui
gere les cd de l’os4, si le « lancement des net interface » rend pas la
main = pas de support cd du tout ?
En effet, la bsdsocket devrait être chargée dès le démarrage, sans connexion, de sorte que toutes les applis puissent tourner correctement. Après, c’est plutôt aux applis elles-mêmes de gérer le fait qu’une connexion échoue.
Cela dit, on peut aussi utiliser les fonctions spécifiques à la pile tcp/ip pour savoir si l’interface est connectée ou pas, mais derrière un routeur, ça donne pas grand chose de plus, en fait, si le routeur lui même n’est pas connecté
Tom a écrit :
Ha oui au fait, je me suis fait des petits scripts avec SMBFS pour monter mes lecteurs réseau sur le workbench et ça marche nickel (avec un petit disk.info qui va bien à la racine pour faire joli).
Mais j’aimerais de la même manière pouvoir les interrompre automatiquement sans avoir besoin de démarrer un shell pour connaître leur numéro de process.
Ca fait un bail de versions que SMBFS démonte gentilment les lecteurs réseau quand il perd la connexion donc normalement, tu n’as rien à faire.
Chez moi (sur OS 3.9 et sous MOS avec Miami), SMBFS démonte les lecteurs tout seul quand Miami vire offline.
Pas besoin de « break ». Il y a une commande pour ça:
NetShutdown
Plus besoin de s’embéter à trouver le numéro du processus. Il suffit d’utiliser son nom:
break name= »TCP/IP superserver »
Sauf que ta question mixait les deux: la pile et SMBFS.
Pour arreter SMBFS, si celui-ci crée un process pour chaque partage créé alors tu pourras utiliser la même technique avec « break ».
Les trolls n’ont pas forcément toujours tort !
Note : ceci est un troll !
Modération de Bégonia : Complétement hors sujet…..
Citation :
Les trolls n’ont pas forcément toujours tort !
Bin justement, je pense que si.
Tout est question d’appréciation du terme troll.
En l’occurence, la pertinence des propos du troll, à mon sens, est
hors-sujet : qu’il insulte la mère de ses opposants ou qu’il émette une
objection argumentée et construite, le troll n’a d’autre but que de foutre
le bordel, décrédibiliser les auteurs d’un thread, faire du prosélytisme
pour sa paroisse etc.
Bref, c’est un agent du chaos
Maintenant, bon, ya de la mauvaise foi partout, on est d’accord.
D’ailleurs ma remarque était implicitement une invitation à raviver la
flamme odieuse. Je ne suis pas tout blanc moi-même.
Modération de Bégonia : Hors sujet…… Attention je vais finir par déplacer le sujet.
En ligne Rectification : les trolls ont tort d’intervenir, mais le contenu
de leur propos peut s’avérer exact Je dis pas du tout ça parce que j’ai
trollé, ahem Quoique, répondre à un troll qui répond à un troll, est-ce
troller ?
On est tous potentiellement des trolls, dès l’instant où on est sûr d’avoir
raison et que l’autre a tort. Il faut évidemment toujours se remettre en
question. Ce que je ne fais pas trop sur un certain sujet
Modération de Bégonia : Hors sujet, vous êtes fatiguant à la longue.
Hip !!
@Tom: Citation :il émette une objection argumentée et construite
Heu, quand on parle avec quelqu’un qui émet une objection argumentée et
construite, ça ne peut rendre la discution que plus intéressante, jusqu’à
peut-être arriver à un débat enrichissant. Bref, si il y a des vrais
arguments, c’est pas du troll.
!! qiH
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