AmigaPower, si peu de lecteurs, pourquoi?
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Surtout que sur Amiga, en ce moment, les nouveautés ne remplissent pas des pages.
Ben c’est pas un argument valable ça.
Dans Amiga Power y’as des test de logiciels, jeux, récents ou non, des tutos que l’on ne trouve pas ailleurs. 😡
Et tout ça dans notre langue maternelle, c’est énorme ! 😮
Pour information, le contenu d’aMiGa=PoWeR n’est pas du tout consacré à l’actualité (deux ou trois pages par numéro tout au plus) car Internet (et OPW) est là pour ça. La grande majorité du contenu est dédié à des tests de logiciel/matériel et à des tutoriels. Et tout ça, on ne le trouve pas sur Internet.
Hello les Pipole!
Sacré méli-mélo qu’un post comme celui-là. Tout le monde n’attend pas la même chose d’un journal/fanzine; contrairement à un web-zine où ça ne coûte pas grand chose (si ce n’est du temps perso) pour l’affichage et la parution d’un périodique, un journal sur papier a des contraintes décourageantes:
-un nombre de pages à assurer (attention, le remplissage est mal vu)
-une périodicité à assurer (un bimestriel qui sort tous les 3 mois et demie, c’est mal vu)
-un coût (les feuilles, l’impression/duplication/tarifs postaux… ne sont pas payés par un multimilliardaire aux dents qui brillent)
Et bien vous me croyez ou non, hein, mais tout ça, c’est proportionnel au lectorat. Vous pourrez plus facilement négocier vos coûts de duplication, disposer d’articles à paginer, etc… si vous avez 400 lecteurs, que si vous en avez 50. Le nombre est la motivation du nombre. Ceux qui me connaissent savent de quoi je parle…
Quand la scène Amiga (qui a abusé de Weight Watchers et autres slim-fast depuis) avait 2 web-zine et 5 fanzines il y a 3 ans et demie, il n’en reste plus qu’un de chaque désormais. L’érosion se fait sentir de partout.
J’en reviens à l’intérêt porté sur une publication. Il est évident qu’on ne peut pas forcer l’utilisateur à adhérer/s’abonner (quoique ??? :°). Le but est de permettre à tout un chacun de s’y retrouver. Le problème de l’Amiga, c’est que son approche est multiple: Amiga Classic, A.One/OS 4.0, Pegasos/MorphOS, WinUAE… Bref, tous les sujets se doivent d’être abordés sous peine de perdre un lectorat potentiel. Et je suis d’accord qu’on ne veut pas forcéement lâcher ne serait-ce que 30 Euros dans un concept qui ne nous convient pas; sinon, en extrapolant, on aurait tous dans le portefeuille les cartes de membre du PC/FN/UMP/PS/Denier de l’Eglise/Arc/Weight Watchers/William Saurin etc…
Pas si évident finalement… Participer est un bon moyen de faire avancer les choses (une petite info de temps en temps, un article, un test, un coup de gueule…), tout autant qu’une participation financière. On peut opter pour l’un, pour l’autre, pour les 2… L’important, c’est de prendre la bonne décision au bon moment, pour ne pas risquer, un jour, de se dire: Ah ben zut, si j’avais su, j’aurais pu participer au journal avant qu’il parte en vrille… Parce qu’on a beau dire « C’est cher », « C’est incomplet », « C’est QUE bimestriel », un journal reste quand même un bon moyen de garder les pieds dans l’Amiga et de se sentir moins seul au monde avec sa bécane de 1988/1993/1997/2004 .
A propos de Obligement. Je suis d’accord qu’il fait de l’ombre à APower (auprès de ceux qui ont le web évidemment).
C’est dommage.
Bof, c’est « dur » de dire de l’ombre.
Je trouve ça très bien qu’il y ait deux alternatives.
Certains préférent les versions papiers, d’autres les versions web. Pour l’instant, il y a le choix des deux formules en sachant qu’A=P fait églament une formule éléctronique.
Que demander de plus!!!
Moi, je prends tout ce qui est à prendre!
Par contre, il est vrai que certaines choses sont « manquantes »:
– abonnement en ligne (Paypal est effectivement une solution)
– achat unitaire du numéro (toutefois, difficile à mettre en place)
Mesdames, Messieurs,
Je tenais à vous faire part de mon soutien dans la lutte que vous menez pour la sauvegarde de votre journal et de vos emplois.
La décision prise par les amigaistes n’apporte pas de réelle solution.
Alors que nous vivons dans « l’ère de l’information », la presse française est laissée à l’abandon. Un journal d’information de moins, c’est un point de vue sur l’actualité et une contribution de moins pour notre compréhension de la société actuelle.
La disparition ou la menace permanente de disparition, le processus d’uniformisation et de standardisation à l’œuvre de la presse sont un danger énorme pour la démocratie.
Je suis intervenu, à plusieurs reprises, auprès du Premier ministre pour qu’il revoie le dispositif d’aide aux quotidiens nationaux et régionaux et qu’il évalue en particulier le dispositif d’aides pour la presse à faibles ressources publicitaires. Soyez assurés de mon soutien, je reste à votre disposition.
Krabob, Secrétaire national du PCFA
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