Comment écrire du code portable
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Le développement demande un investissement conséquent en temps, efforts, etc. alors je crois que si on peut être aidé, c’est toujours appréciable. C’était le but de
Pour ceux qui veulent des premiers repères pour démarrer et bien comprendre la programmation sur Amiga, ce document est disponible depuis assez longtemps maintenant.
J’ai récemment repris ma série sur la programmation MUI de guru-meditation en apportant des modifications dans le code (qui se voit même simplifié). Cela comporte 7 articles et exemples progressifs et l’ensemble est disponible ici, sur Aminet. Je rappelle que MUI est supporté par toutes les variantes de l’AmigaOS.
Ces exemples fonctionnent sur AmigaOS, MorphOS et OS4 (Olivier les avait auparavant compilé sur AROS), en les compilant avec SAS/C, VBCC et GCC. Difficile de faire plus portable !
Enfin, si j’ai pu simplifier ces exemples et les rendre portable, c’est en utilisant quelques méthodes que j’ai consignées dans un nouveau document indiquant comment programmer de manière portable.
Avec tout ça, il n’y plus d’excuses pour ne pas développer, quelque soit l’OS !
putain quel uptime !
Only amiga makes it possible
XTR Games
Magic Productions
tildeMais apparemment, l’envie de s’y mettre a tourné, elle aussi …
mouaip, putain de monde. Tu reprends une bière ?
Maintenant personnellement quand je raisonne portable, j’ai un peu tendance à voir un peu plus large…
SDL me va très bien dans ce sens, mais effectivement pour les interfaces graphiques ça le fait pas…
Et c’est vrai que le temps manque quand même pas mal, et peut-être la motivation aussi. Faut dire qu’on code déjà pas mal au boulot… pas vous?
Sinon bientôt GTK sur nos machines ?
A+
Coder portable, c’est surtout prévoir des couches d’abstractions pour ne pas mélanger directement le code du soft avec les routines de l’OS. Définir une abstraction pour l’affichage, le son, l’input, les threads, les i/o etc…
Après les API portables du genre SDL, c’est qu’un détail à mon avis. Quand un projet est bien séparé et qu’il n’y a que des interfaces bien définies à implémenter, ça se passe en général très bien niveau portage. Coder SDL c’est ne pas voir très loin, justement (si c’est mal fichu).
Au contraire, bon nombre de linuxeries posix/SDL sont en fait difficilement portables sur nos OS, malgré l’utilisation d’API soit-disant portables. C’est souvent parce qu’il y a un mix de SDL et de code un peu trop lié à l’architecture des unix.
MaVaTi : Oui, tu parles de portabilité entre systèmes différents. L’objet de mon document est la portabilité sur les différents systèmes Amiga. Il donne des clés pour se simplifier la vie dans le développement d’applications destinées de manière générale à la communauté.
Tes autres questions partent un peu dans des directions différentes …
Fab1 : Tu fais de très bons rappels mais au niveau que tu abordes, le code n’est pas directement en cause. Je dirais que tu parles d’architecture logicielle qui, c’est vrai, détermine la portabilité du code.
La portabilité s’envisage à différents niveaux, tout le monde semble d’accord !
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