Et oui, nous n’en avons pas encore fini avec Doom et ses multiples portages!
Cette fois-ci, c’est NovaCoder qui nous propose un port de ZDoom bâptisé AmiDOOM pour Amiga 68k. Ce dernier est disponible en 2 versions:
- AmiDOOM_AGA.lha (source Aminet)
- AmiDOOM_RTG.lha (source Aminet)
La configuration minimale requise est la suivante:
- un kickstart 3.1 minimum
- un processeur 68060
- une machine AGA ou RTG
- 32Mo de mémoire
- le jeu original (ou la démo)
Caractéristiques:
- Console
- Effet de particules
- Saut
- Double tampon pour afficher 256 couleurs
- Moteur sonore pour jouer les SFX et les MIDI
- Bouton du milieu de la souris pour alterner les armes
- Support ZDOOM TC
- Support des habillages personnalisés
- etc…
Le jeu a également été indiqué comme fonctionnel sous WinUAE.
12 Commentaires
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On a aimé l’ Amiga pour l’ avance technologique qu’il avait en son temps.Quand je vois ça, même si j’ apprécie le travail, je me dis à quoi bon ? Même un téléphone fait 100 fois mieux. Mieux vaut un nouveau petit jeu 2d comme celui qui est sorti à noël, dés créations musicales, ou même se reporter dans la liste gargantuesque de jeux de l’époque dont on est loin d ‘ avoir fait le tour. Un 6060 en plus… pff.
Il en faut pour tous les goûts, le 68060 n’a pas été beaucoup exploité à l’époque, alors quand je vois des quake2 ou des doom qui carburent en 060/aga après tant d’années, alors je suis très content ! Même si ce sont des jeux que j’ai toujours détestés, je salue la prouesse technique.
Je suis un peu d’accord avec @Doolittle. C’est une machine 2D à la base… Avec Doom rien n’est utilisé: le 060 fait les calculs, et l’AGA sert de framebuffer: on n’est un peu loin de ce qui fait l’Amiga je trouve.
Par contre ça montre l’intérêt réel de ce jeu vu comme pourri par tous les Amigaistes de l’époque 😉
Alors que de la bonne 2D… 🙂
oui c’est pour le fun technique, on s’en fout de doom quake et consors mais bravo au coder !
Doom est un bon jeu, moche mais sympa.
Je salue la performance, aussi, mais comme Doolittle je trouve ça un peu amer comme “succès” en 2013, quand n’importe quel smartphone a des puces graphiques procédants à des milliards d’opérations vectorielles par seconde…
Mais à l’époque j’avais bien aimé Doom, lors des premiers ports sur Amiga (vers 97 je crois ?). a l’époque ça voulait encore dire quelque chose : on n’était que quatre ans après la sortie de l’original sur PC.
Je me souviens de l’avoir récupéré à la Fac sur les vieux powermac sous Mac OS 7. Les Wads étaient segmentés par le logiciel de compression sur mes mauvaises disquettes double densité, formatées en FAT, lisibles par l’amiga et le Mac. Il fallait prier pour que l’écriture et la lecture se fassent sans erreurs, sinon il fallait revenir à la Fac et recommencer la longue opération (plusieurs mégas répartis en fichiers de 650 Ko 😉 ). J’avais du le faire plusieurs fois.
Ensuite, grand plaisir à y jouer sur un 1230@50MHz. 🙂 A l’époque, 7-8 FPS me semblaient fluides ! ^^
Je me souviens maintenant que pour le désarchivage j’étais passé par le même logiciel, sous Shapeshifter ! Et oui, Doom faisait baver l’amigaïste, à l’époque, il faut bien l’avouer, donc on n’hésitait pas à se retrousser les manches. 😉
C’est vrai Jul 🙂
Je me souviens qu’il était bien plus fluide sur le 486SX/25 que sur l’Amiga 030/50 par contre. En y jouant je me suis dis: “c’est très bon quand même!” 🙂
En même temps créer un jeu de zéro (graph + son + prog + sénario) est bien plus compliqué que de porter un jeu, d’ailleurs ce n’est carrément pas comparable !
Je salue en particulier le moteur sonore pour jouer les SFX et les MIDI.
C’est un vrai Guerrier Jul 😀